Scandales sanitaires, ras-le-bol des effets secondaires… Les Françaises sont de plus en plus nombreuses à arrêter la pilule et à se poser des questions sur l’impact des hormones synthétiques sur leur corps. Des questions qui trouvent rarement des réponses claires…

La journaliste indépendante Sabrina Debusquat, conseillée par d’éminents spécialistes de la question, livre le fruit d’une année d’enquête et jette un véritable pavé dans la mare d’un sujet qui concerne plusieurs millions de jeunes femmes …

Livre j'arrête la pilule Sabrina Debusquat

C’est la parole féminine qui est le point de départ de cette enquête. En effet, comment expliquer le décalage important entre les effets secondaires qu’expérimentent de nombreuses femmes sous pilule et le discours médico-scientifique dominant qui rétorque qu’il s’agit de cas rares, voire que certains symptômes sont “psychosomatiques” ?

“Vous devriez être fière de prendre la pilule, c’est un très beau progrès”, “Les risques sont minimes madame, croyez-moi, vous vous inquiétez pour rien” sont la plupart du temps les seules réponses qu’obtiennent celles qui s’interrogent sur leur contraception orale. Ainsi, la pilule est encore trop souvent vue à travers le prisme d’idéologies, empêchant les femmes d’accéder à des réponses claires.

Fruit d’une année d’enquête menée par une journaliste indépendante, apolitique, agnostique et spécialiste de la santé des femmes, cet ouvrage vous montrera que, contrairement aux idées reçues, se poser des questions sur la pilule c’est être plus féministe que jamais. Produit cancérigène de première catégorie et perturbateur endocrinien puissant prescrit à des jeunes femmes en parfaite santé, des milliers de Françaises subissent des problèmes de santé graves à cause d’elle chaque année. Certaines en meurent. Sans parler des millions d’autres à qui elle gâche la vie à cause de ses effets secondaires « bénins » : dépressions, migraines chroniques, prise de poids ou baisse de libido.

Extrait : “Critiquer la pilule n’est pas revenir en arrière. C’est au contraire balayer les peurs du passé pour avancer avec les exigences féministes actuelles. C’est donner à la parole des femmes une place qu’elle n’avait pas quand la pilule a été créée. C’est affiner les droits précédemment conquis. Osons nous exprimer. Osons rêver pour que l’impensable d’aujourd’hui devienne à son tour la banalité que d’autres voudront dépasser demain. Comme l’ont fait celles et ceux qui nous ont précédés.”

“Contrairement aux idées reçues, se poser des questions sur la pilule c’est être plus féministe que jamais.”

Livre pilule Sabrina Debusquat

││Disponible depuis le 6 septembre 2017 aux éditions Les Liens qui Libèrent ││

On la suspecte aussi de jouer un rôle dans les épidémies de cancer du sein, d’infertilité et de maladies auto-immunes qui explosent ces dernières décennies. La science, censée nous en informer, se révèle plus que défaillante en la matière. Pendant ce temps-là, une industrie multimillionnaire prospère.

Parce qu’il est temps d’aborder tous ces sujets sans tabous, voici un ouvrage qui livre une année de recherches fouillées réalisées en alliance avec des médecins, chercheurs, toxicologues et pharmacologues indépendants et sans conflit d’intérêts. Chaque femme, peu importe son âge, ses convictions féministes, écologiques ou spirituelles y trouvera des informations et réponses précises :

Comment fonctionne la pilule exactement ? Qui l’a inventée ? Est-elle dangereuse pour la santé et l’environnement ? Pourquoi sommes-nous si nombreuses à ressentir une baisse de désir suite à sa prise alors que nos médecins disent “c’est dans vos têtes” ? Existe-t-il d’autres solutions aussi efficaces et simples d’emploi ? Et puis… Pourquoi la pilule pour homme n’existe pas encore ? Quels sont les espoirs pour la contraception du futur ? Comment faire face aux effets secondaires post-pilule ?

Soixante ans après la création de la pilule, une nouvelle génération de femmes place la barre des exigences encore plus haut en estimant que la contraception doit à la fois être efficace ET n’engendrer aucune souffrance ni aucun risque pour la santé.

À la croisée de l’histoire, des sciences et du féminisme, J’arrête la pilule bouscule nos certitudes et nous exhorte à repenser nos habitudes contraceptives. De l’histoire étonnante de la naissance de la pilule à la face cachée de la science en passant par les témoignages des femmes, vous découvrirez que ce que de nombreuses femmes ressentent vis-à-vis de la pilule est loin d’être “dans leur tête” et comprendrez en quoi c’est un sujet qui nous concerne tous.

 

J’arrête la pilule, disponible dès le 6 septembre dans toutes vos librairies, FNAC, Cultura, Maisons de la Presse, Espaces Culturels Leclerc.

Acheter en librairie sur :

J'arrête la pilule Sabrina Debusquat

Achat de l’étranger : version digitale ou papier via Amazon.

SORTIE EN POCHE SEPTEMBRE 2018 :

Version actualisée avec postface inédite

J'arrête la pilule Sabrina Debusquat version poche J'ai Lu


Cet ouvrage est rédigé par la journaliste indépendante Sabrina Debusquat et a été publié le 6 septembre 2017 aux éditions Les Liens qui LibèrentFruit d’une année d’investigation, il s’appuie sur des faits vérifiables et validés par des études scientifiques indépendantes et reproductibles (ainsi que par des professionnels hautement qualifiés).

Répondre à Mabo Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Comments (125)

  1. Bonjour,
    Cela fait 7 mois que j’ai arrêté la pilule minidrill pour un projet bébé et c’est un enfer (crampes, crises d’angoisse, cheveux gras, peau irritée, douleurs partout). Mais le pire c’est les démangeaisons et douleurs intimes qui empêchent les rapports et entraînent des mycoses. La sécheresse vaginale est-elle un symptôme post-pilule? Je suis complètement perdue car mon généraliste ne m’a pas accompagnée et me dit que c’est de l’angoisse alors que je sais que tous ces symptômes datent d’après l’arrêt. C’est fou de ne pas être prise au sérieux et de devoir errer dans des forums.
    Hâte de livre votre livre, je regrette tellement d’avoir pris cette pilule et me demande si je vais pouvoir faire un enfant.
    D’autres femmes sont-elles dans mon cas?

    Répondre
    Mylen - 4 juin 2022
    1. En effet, les hormones influent grandement sur la lubrification vaginale (d’où certains problèmes à la ménopause)… Vous pouvez attendre encore quelques mois voir si cela passe (et utiliser de l’huile de coco en attendant) mais sept mois cela me semble déjà long en effet. La phytothérapie peut également aider à réguler des cycles un peu déréglé (extrait alcoolique de Maca, framboisier, achillée milefeuille, etc.), votre herboriste local pourra vous aider à tenter une solution de ce type.

  2. Votre livre a été une révélation ! J’ai pris la pilule pendant 3 ans en pensant que ça m’allait très bien. Après m’être séparé de mon compagnon, j’ai décidé d’arrêter en me promettant de ne plus jamais reprendre ce moyen de contraception car je m’intéressais de plus en plus à ses effets indésirables sur le long terme. J’ai vécu 6 mois sans, en totale harmonie avec mon corps. Un peu d’acné qui a ressurgit, des règles plus douloureuses mais ça m’importait peu. Au début de l’été, de nouveau en couple, j’ai décidé de quand même reprendre la pilule, un peu malgré moi (je trouvais ça plus simple, je me disais que ce serait le temps de réfléchir à une autre contraception). Les 3 mois de (re)prise ont été très difficile et je n’ai cessé d’essayer de comprendre l’état de mes hormones sous la pilule: j’avais beaucoup de nausées, le ventre gonflé, la poitrine très douloureuse, une susceptibilité démesurée (déprime aussi…) et pour couronner le tout, des irritations intimes extrêmement gênantes (irritations que ma gynécologue ne comprend pas et qui sont apparues la première fois lorsque je prenais le pilule depuis 1 an… et lors de ma pause de 6 mois, j’avais beaucoup moins de douleurs intimes… Ça interroge quand même !!). C’est là que j’ai décidé d’acheter votre livre, pour en savoir plus et comprendre ce que mon corps subissait. J’ai décidé d’arrêter net ! Depuis, ma poitrine est redevenue normale et donc moins sensible, mes nausées soudaines ont disparues et je me sens beaucoup plus maîtresse de mes émotions et comme un état psychique plus sain… Avec le recul, je me suis demandée si j’avais ressentie tous ces effets secondaires lors de ma première prise, de presque 3 ans. Eh bien je pense que oui ! j’étais notamment toujours sujette à des “maux de coeurs” style nausées et j’étais très nerveuse. Je ne saurai jamais si cette nervosité était liée à mon entourage, mon couple ou à cette prise d’hormones artificielles. Toujours est-il que la pilule est maintenant derrière moi et je compte parler de votre livre aux jeunes femmes que je connais ! Alors merci !

    Répondre
    Val_ - 13 décembre 2020
    1. Bonjour Valentine et merci pour ce gentil message qui me va droit au coeur. Nous sommes malheureusement si nombreuses à vivre ça et à regretter avec le recul de ne pas avoir su, de ne pas avoir été suffisamment informées que tout cela pouvait être dû à notre contraception… que d’années de perdues parfois !

      Quoi qu’il en soit, heureusement aujourd’hui dans tous les pays des femmes se regroupent pour faire avancer les choses, gageons donc que nos petits-filles n’auront pas ce problème mais il va falloir se battre car même certaines femmes ne comprennent pas la légitimité d’un tel combat…

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 14 décembre 2020
      1. Bonjour,

        J’ai décidé d’arrêter ma pilule après 10 ans de prises. J’en ai essayé 5 différentes, voulant à tout pris soulager mes douleurs de règles. Et par peur de l’endometriose très présente dans ma famille.

        Je n’ai fait que enchaîner les cystites, sécheresse, perte de libdo et mycoses…
        Je fais également des sinusites tout les 2 mois… (et me demande si il n’y a pas aussi un lien avec les hormones)

        Aucune pilule ne m’a convenu. Et j’ai depuis 4 mois décidé d’arrêter pour voir. Pour le moment, j’ai retrouvé une libido ! Plus de sécheresse. Et ma dernière sinusite n’a durée que une semaine et sans finir sous antibiotiques et cortisone comme souvent avant. Les douleurs reste supportable pour l’instant.

        Cependant… Après 4 mois sans mycose… J’ai eu la mauvaise surprise d’en refaire une…
        Et j’aurais du coup aimée savoir si ça peut encore arriver dû à l’arrêt de la pilule ? Ou même si 4 mois ne sont pas suffisant pour voir la diffence ?

        Je vous remercie,

        Répondre
        Cloë - 26 décembre 2023
  3. Moi c’est depuis que je les arrêter que rien ne vas plus. Je suis plus irritable que jamais, toujours énervée, fatiguée. Bref à par la libido qui vas mieux tout le reste et pire je cour en reprendre

    Répondre
    Nana - 18 décembre 2019
    1. Bonjour Nora, c’est ce qui arrive à beaucoup de femmes après l’arrêt de la pilule, ce sont bien souvent des désordres hormonaux post-pilule dus… à la pilule précisément. Jusqu’à 25 % des femmes doivent patienter près d’une année pour retrouver avec bonheur leur corps et ses hormones naturelles qui fonctionnent correctement (pour beaucoup de femmes, j’en ai fait partie, arrêter la pilule est un vrai parcours du combattant parce que l’on a encore des effets secondaires en l’arrêtant et que cela prend des semaines, des mois voire des années pour que le corps retrouve son équilibre… c’est donc à chacune de faire son choix mais sachez que votre état actuel peut se résoudre 🙂 )

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 19 décembre 2019
    2. Pareil !!! Rien ne va plus depuis l arrêt de ma pillule !!! L. Enfer !!!

      Répondre
      Geraldine - 23 septembre 2020
  4. Bonjour Sabrina,
    J’ai 48 ans, J’ai commencé à prendre la pilule a l’âge de 22 ans (mais ça a duré très peu de temps), c’était une normalité pour toutes les femmes à cette époque, on y voyait une liberté féminine mais on se posait quand même quelques questions…. Et surtout moi !!!! ….
    De nature assez curieuse, je m’étais renseignée comment la pilule fonctionnait et je trouvais ça hallucinant qu’un gynécologue n’y trouve aucune inocuité alors qu’on ingère des hormones synthétiques qui bloquent les hormones normales… Même en changeant de gynécologique, leurs réponses étaient toutes rassurantes alors qu’au fond de moi, je doutait très fortement… le pire étaient les hommes gyneco,” ça les arrangent me disais-je et ils s’en foutent “.
    Au tout début de la prise, j’étais déjà consternée par la notice et la liste qui n’en finissait pas d’effets secondaires, effarant !! autant qu’un anti-dépresseur jugé lui très néfaste !!! et puis simultanément après les premières prises, j’ai eu des envies de vomir, une faim de dingue, un déssèchement de la bouche, puis une pilosité qui s’est installée lorsque je prenais des pilules plus fortement dosées. J’avais aussi des amies qui réagissaient mal et avaient d’autres symptômes, même une qui a fait un mini-AVC. Pour ma part, je m’y suis habituée et les symptômes sont ensuite partis, J’ai dû la prendre pendant 2 à 3 ans, n’hésitant pas à faire des pauses par méfiance, et puis un jour j’ai dit à mon petit ami,” j’arrête cette merde, t’en boufferais toi des hormones ? Il n’a jamais contesté ma position et nous sommes passés au moyens mécaniques, gestion des périodes fertiles, préservatifs, etc, mais plus rien de chimique .
    et pourquoi on ne se tourne pas vers une pilule pour homme, toujours nous les femmes à assumer toutes les contraintes de la sexualité…
    En France, les médecins ont des sales habitudes, une amie qui avait vécue en Suisse m’a raconté que la-bas on hésite pas à proposer des stérilets à des très jeunes filles ; en France on considère le stérilet comme un danger tant que tu n’a pas eu d’enfant, on le propose après la première maternité. Parce qu’un fil de cuivre naturel est plus dangereux que des hormones qui te file le cancer pour les années à venir. J’ai même lu à une époque, un article où un médecin disait que si tu prends la pilule quelques années tu es protégée d’un cancer……….. je rigole, validé par quoi , des statistiques ? et le statistiques de ceux qui la prenne ????
    Mon constat est qu’on ne pourra jamais contrer la nature mais il faut plutôt la comprendre pour bien se soigner. Après la deuxième guerre mondiale, s’est installée en masse une production de tous produits alimentaires et médicamenteux basée sur la chimie et on vit dans cette sois-disant normalité, les gens un peu curieux marchent moins et se méfient mais en général, les sociétés pharmaceutiques et labo cachent et l’état valide toutes leur nouveautés-merdouilles;
    j’apprécie aujourd’hui cet élan des jeunes femmes qui commencent à se poser des questions,(grâce à l’avènement des réseaux sociaux ça a bien aidé !) testent, parlent, comparent, réalisent que le consommateur n’est malheureusement qu’un pauvre pigeon. Les pôles commencent à s’inverser à force de maladies, catastrophes sanitaires, problèmes récurrents, allergies exponentielles dues à toute cette chimie intégrée à notre insu. Malheureusement il faut en arriver là pour que les consommateurs se réveillent.
    Stéphanie

    Répondre
    STEPHANIE - 22 octobre 2019
    1. Bonjour Stéphanie et merci pour ce beau commentaire 🙂

      C’est exactement la thèse que je développe dans “J’arrête la pilule” et sa suite “Marre de souffrir pour ma contraception. Manifeste féministe pour une contraception pleinement épanouissante.

      A mon sens, la pilule est le produit d’une époque, l’époque des pesticides, des plastiques et de “la chimie merveilleuse qui va résoudre tous nos problèmes”, sauf que sauf que…. On a très vite déchanté en constatant l’impact des perturbateurs endocriniens sur notre santé et nos ecosystèmes…

      La jeune génération, plus écolo et informée de ces dangers (et avec un avenir sombre qui se dessine) a plus de force pour agir et vouloir changer les choses. J’essaie de porter cet élan comme je le peux car en la matière beaucoup écoutent encore religieusement leur médecin, même s’ils ne sont pas toujours très convaincus, principalement parce qu’il n’y a tout simplement pas ou très peu d’alternatives, de contraceptiosn sans effets secondaires.

      J’ose porter l’espoir que nous pouvons le faire, si nous en avons la volonté.

      Pour cela, pour ceux que ça intéresse, nous sommes déjà plus de 25 000 à avoir signé la pétition “Marre de souffrir pour ma contraception” 🙂

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 23 octobre 2019
      1. Merci Sabrina,
        Pour évoquer un livre avec ce sujet car personnellement j’en parlais autour de moi à quelques copines étant convaincue de la dangerosité du produit mais malheureusement le thème de la pilule est un peu tabou, on n’en parle pas à tout le monde…
        On vit aussi dans cette époque où l’on s’oublie, on oublie la sensibilité que l’on a perdue, car si l’on écoute notre corps, on réalise qu’il y a des signes de périodes de fécondité (gonflement de seins, de ventre, glaire très fine et claire, etc…) chacune doit s’écoute , les symptômes sont différents d’une personne à l’autre (car les méthodes par exemple billing/ogino qui sont anciennes, aidaient aussi la contraception même si elle ne sont pas fiables à 100%i elles étaient dans le bon chemin de la recherche car il y a d’autres types de contraception moins agressives et respectueuses du corps qui méritent d’être étudiées… La société s’est confortée dans une vaste hypocrisie qui arrangeait tout le monde, surtout les labos, les médecins, certains hommes.
        Stéphanie

        Répondre
        stephanie - 23 octobre 2019
        1. Absolument et c’est d’ailleurs e que je fais personnelement puisque je pratique la méthode de connaissance du cycle la plus efficace qui existe : la symptothermie depuis plus de 3 années maintenant avec succès et plaisir (couplée au préservatif masculin ou diaphragme en période fertile soit 10/15 jours par mois) ! J’en parle un peu dans mes ouvrages, c’est la façon que j’ai toruvé pour avoir une contraception efficace et sans aucuns effets secondaire, ni pour moi ni pour mon compagnon ni pour l’environnement.

          Si ce n’est déjà fait, je vous invite vivement à lire mon manifeste “Marre de souffrir pour ma contraception” qui devrait vous parler 🙂

          Répondre
          Sabrina Debusquat - 23 octobre 2019
        2. Bonsoir, j’ai décidé d’arrêter la pilule à cause des effets indésirables. Exemple : migraine,perte blanche, insomnie, saignements entre les règles fatigue règles abondantes et je suis sur que c est la pilule qui me fait ça malgré que je la prend depuis des années mes simptomes durent depuis 3 mois alors j’arrête et puis je verrai bien si il ya amélioration.

          Répondre
          Jennifer - 6 janvier 2020
  5. Bonjour ,

    Merci pour votre livre qui a été une vraie libération pour moi.
    Cela fait plusieurs années que j’ai des soucis hormonaux et que je veux arrêter la pilule, la lecture de votre livre a été un déclic pour moi.
    J’ai été sous Androcur pendant 8 ans et j’ai essayé de l’arrêter 3 fois au cours de ces 4 dernières années mais je l’ai reprise deux fois.
    Je fais partie de celles à qui on a donné Androcur un peu par hasard, parce que ” c était efficace et que ça marche bien ” comme dit mon médecin sauf que depuis deux ans les urgences sont devenues ma seconde maison : phlébite, paralysie du bras , migraine , vomissement, perte de vision et pour finir : une paralysie du côté droit du visage.
    A la fin je ne savais même plus comment je m’appelais , j’avais une mémoire de poisson rouge et une incapacité à rester concentrer sans parler de l’angoisse au vue de tout ce qui m’arrivait. ( je tiens à préciser que j’ai 28 ans seulement !! )
    Forcement à chaque fois l’Androcur n’était JAMAIS remis en cause , c’était forcement le stress et puis comme à l’époque je vivais seule j’étais forcement dépressive …J’ai été dans une errance médicale pendant deux ans avec comme seule prescription d’aller voir un psy !
    Bref le jour ou le scandale Androcur à éclaté on a enfin commencé à me prendre au sérieux , j’ai passé une IRM et Dieu merci il n’y avait rien et j’ai arrêté pour de bon ce poison.
    Je suis intimement convaincue que même sans présence de méningiome , l’androcur détraque beaucoup le corps d’un point de vue endocrinien et neurologique, c’est en tous les cas ce que j’ai pu en ressortir de tous les témoignages que j’ai pu lire.

    Aujourd’hui je suis à 5 mois d’arrêt même si beaucoup de choses se sont améliorées , mon corps a énormément morflé :
    Nausées , vomissement , pas de cycles , ENORME prise de poids, poitrine douloureuse , saute d’humeur , aggravation de mon hypothyroïdie, brouillard mental, fatigue extreme.
    Dieu merci je n’ai pas eu de retour d’acné même si ma peau est moins belle, ni de perte de cheveux même s’ils sont un peu plus gras qu’avant.
    J’ai récupéré des règles au bout de 4 mois seulement , j’espère que cela est le signe que mon corps se remet en route et que ça va durer.

    Ce qui m’a le plus choqué dans l’histoire c’est l’impact que l’arrêt à eu sur ma thyroïde !
    J’ai quand même l’impression que les choses se stabilisent depuis un mois mais je vis très mal tout cela , surtout ma prise de poids que personne n’explique vraiment.

    Même si le chemin est long et que je souffre beaucoup du changement physique je ne regrette pas de l’avoir arrêter.
    Quand j’ai réalisé à quel point mon corps a souffert pour se remettre en route j’ai beaucoup culpabilisé de lui avoir fait endurer ça pendant huit longues années. Il est aujourd’hui impensable pour moi de (re)prendre quelque chose qui va à l’encontre de mon corps et de la nature.
    Alors merci à vous de nous ouvrir l’esprit et merci d’alerter les futurs jeunes filles sur les dangers de cette contraception et de leurs donner l’opportunité de faire leurs choix en pleine conscience.

    Répondre
    marina - 27 août 2019
    1. Qu’ajouter de plus ? A nouveau un témoignage bouleversant comme on aimerait ne plus en voir.

      Merci à vous pour votre courage et votre témoignage <3

      Du coup aujourd'hui quelle est votre contraception (si ce n'est pas indiscret) ?

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 28 août 2019
      1. Bonjour Sabrina 🙂 
        Merci pour votre retour.
        Concernant ma contraception la pilule m’a été recommandé comme étant la seule solution à mon SPM très très fort … Mais il est hors de question pour moi de remettre des hormones dans mon corps et surtout c’est trop dangereux au vu de mes antécédents.
        Pour le moment je ne prends rien du tout et avec mon compagnons nous nous protégeons. 
        J’envisage le stérilet sans hormone mais  je ne suis absolument pas prête pour ça et surtout mon  gynécologue m’a dit qu’il y avait de fortes chances  pour qu’il augmente mon SPM déjà très fort. 
        Je suis donc dans une impasse et peu de choix s’offrent à moi.
        Pour le moment je suis plus dans une phase ou je cherche l’équilibre hormonal et me sentir bien avec mon corps via des alternatives moins invasives comme l’acupuncture et la naturopathie.
         Le problème quand on passe d’hormones de synthèse très fortes à une manière naturelle c’est que tout est beaucoup plus lent et parfois on perd espoir.
         Mais je reste confiante et je sais qu’un jour j’en verrai le bout 🙂 

        Répondre
        marina - 9 novembre 2019
        1. Oui, malheureusement rien n’est simple mais, pour vous aider, vous avez quelques solutions en contraceptions sans effets secondaires ni hormones :

          – le fameux préservatif masculin (testez-en un très fin de la marque Protexe, cela change généralement la vie de nos compagnons ^^)

          – le diaphragme, injustement méconnu et pourtant une bonne solution (dôme en silicone médical à insérer dans le vagin pour couvrir le col de l’utérus juste avant le rapport et avec un spermicide, même si moins efficace que le préservatif, couplé au retrait on obtient une super haute efficacité.)

          – une méthode naturelle type symptothermie pour apprendre à repérer votre fenêtre de fertilité en tant que femme (la période ovulatoire) et pour vous permettre donc de n’utiliser le préservatif ou diaphragme uniquement durant la période à risque

          – la contraception masculine thermique (anneau ou slip à porter 15h/jour qui relève les bourses de monsieur et permet une quasi stérilité en 3 mois (arrête la production de spermatozoïdes parce que les testicules sont trop près du corps donc trop chauds)

          Répondre
          Sabrina Debusquat - 11 novembre 2019
  6. Bonjour je suis en phase d’arrêt de ma pilule, une succession depuis 30 ans, malheureusement je suis un peu stressée à l’idée de l’arrêter car depuis ces 7 dernières années j’avais enfin trouvé un endocrinologue gynécologue qui avait stabilisé mon pb hormonal lié aux androgènes, qui engendrait des chutes de cheveux, de l’acné avec peau grasse! Du coup je me retrouve à 47 ans, sûrement en préménaupose, où on ne me renouvelle pas mon traitement contraceptif à cause des risques pour ma santé mais sans accompagnement! Je sais les risques méningiome, avc, trombose (heureusement je fume pas, mais je suis migraineuse) mais je ne sais comment faire pour la transition, je suis en phase de recherche de spécialistes, d’informations pour palier la suppression de ces substances et des symptômes qui risquent sûrement de revenir ou de se déclarer! Galère….

    Répondre
    karine - 11 avril 2019
    1. Bonjour Karine, oui malheureusement c’est parfois un vrai parcours du combattant… J’espères que vous trouverez des témoignages qui vous aident ici, de mon côté à part vous dire que le sevragre progressif semble en aider certaines, il faut savoir que nous n’avons aucunes études scientifiques à disposition…

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 11 avril 2019
      1. Bonjour Sabrina,

        Merci pour la qualité de votre livre, j’en parle à tous, et je l’ai déjà passé à mes parents qui la prônait en tant que révolution sexuelle 🙂

        Mon expérience… 35 ans et 16 ans de pilule: impossible à arrêter à cause d’une acné polyquistique (dos, cou, décolleté, visage).

        Aujourd’hui, j’en suis à mon dernier mois de sevrage avec 1/4 de CP / jour (6 mois en les coupant). Depuis 1 mois je constate des changements, c’est bluffant !
        – Ma glaire cervicale a changé, j’ai enfin pu constater ce qu’était cetge glaire type “blanc d’œuf”.
        – J’ai mon corps beaucoup plus sensible avec mes tétons parfois douloureux.
        – J’ai constaté un gonflement des petites lèvres pendant quelques jours (ovulation ?).
        -Ma libido est en très forte hausse, ahahah 🙂
        – Mes seins semblent plus rebondis
        – je transpire un petit peu plus, j’ai plus de pertes et lors de l’excitation sexuelle, une très bonne hydratation.

        Aussi, après une bonne période d’abstinence, j’ai eu un rapport sexuel et j’ai constaté avec horreur que la pénetration était insupportable (col utérus).

        J’ai l’impression, alors même que je n’ai pas terminé le sevrage, que mon corps reprend ses droits avec une certaine violence.

        Je me pose donc la question suivante : “Tous ces symptômes sont-ils normaux et vont-il s’améliorer ou bien empirer à l’arrêt ?

        J’espère que tu pourras m’éclairer avant d’aller voir ma gyneo à la rentrée.

        À bientôt,

        Répondre
        Anna - 9 août 2019
        1. Bonjour Anna,

          Merci pour ce gentil message 🙂

          Je vous rassure, beaucoup de femmes passent par là à l’arrêt de la pilule et cela dure des semaines pour les plus chanceuses à des mois, voire des années, pour les moins chanceuses.

          Les phénomènes que évoquez sont absolument normaux (pour ce qui est des seins, des “pertes” , de la lubrification plus impoprtante lors des rapports ainsi que de la vulve gonflée et la transpiration qui varie) en effet les hormones jouent beaucoup sur tous ces paramètres et c’est donc absolument normal d’avoir l’impression de retrouver, de devoir se réapproprier son corps à l’arrêt d’une contraception hormonale.

          Bien souvent, les symptômes sont (ou paraissent, par contraste), très puissants à l’arrêt, donc il y a une période de réadaptation un peu étrange mais pour la plupart des femmes cela se normalise assez rapidement (même si les glaires et la lubrification restent elles puisque ce sont des phénomènes normaux sous cycle naturel ^^).

          Je comprends absolument cette impression de “violence” que cela vous donne, j’ai vécu précisément la même chose, suis passée par le même chemin.

          Donc à vous de voir si, après quelques semaines/mois après l’arrêt certains phénomènes anormaux ne se tassent pas, si vous avez envie d’aller consulter pour tenter de trouver une solution à ce qui sera très certainement du coup un déséquilibre hormonal. Malheureusement, les nombreux témoignages que je reçois en ce sens ne poussent pas à l’optimisme car bien souvent les médecins (gynécos, dermatos, endocrinos), ne proposent que de reprendre des hormones de synthèse pour “réguler” le tout… Il faut donc souvent chercher par soi-même l’origine de son dérèglement et tenter de se traiter comme un peu avec de la phytothérapie quand on refuse à nouveau les hormones ou médicaments… Ceci dit, vous n’en êtes pas encore là ! 🙂

          En espérant vous avoir aidé.

          Répondre
          Sabrina Debusquat - 9 août 2019
          1. Bonjour Sabrina,

            Merci beaucoup pour votre retour, il me rassure énormément.

            Heureusement, j’ai une sage femme naturopathe qui est de très bons conseils.

            Encore une fois, merci Sabrina et longue et heureuse vie journalistique 🙂

            Anna - 2 septembre 2019
          2. Merci Anna, c’est adorable <3

            Sabrina Debusquat - 6 septembre 2019
  7. Bonjour Sabrina,

    Je suis sous Diane 35 depuis 10 ans (j’ai 27 ans) et c’est depuis cette date que j’ai commencé à avoir des chutes de cheveux. Légères d’abord, puis de plus en plus importantes jusqu’à avoir aujourd’hui une alopécie diffuse. J’ai tout essayé: vitamines pour les cheveux, Minoxidil, mésothérapie… mais rien ne fonctionne (le Minoxidil a produit une hyperpolisité sur tout le corps, sauf sur mon crâne). Plusieurs médecins me confirment que Diane 35 est censée être la meilleure pilule pour les cheveux, et que donc elle ne peut pas être responsable de mon alopécie. Mais je trouve tout ça étrange car mes cheveux sont de plus en plus fins et tombent par paquets, ils sont ultra gras et j’ai des pélicules. J’ai également pris du poids mais je continue à la prendre contre l’acnée. Que me conseillez-vous ?

    Répondre
    Ninon - 8 novembre 2018
    1. Bonjour Ninon, pour des conseils il faudra vous rapprocher du corps médical, je ne suis qu’une journaliste qui connaît certes bien le sujet mais je ne donne aucun conseil médical. Je sais que d’autres femmes m’ont dit avoir eu à faire face au même problème que vous mais je ne connais pas la solution. Peut-être creuser du côté d’un désordre hormonal à régler ?

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 8 novembre 2018
      1. Merci pour votre réponse. Me voilà de retour. Donc, après avoir perdu 1/3 à 1/2 de mes cheveux sous Diane 35 ainsi que plusieurs mois après son arrêt, mes cheveux ont finalement recommencé à pousser. Après plusieurs rendez-vous chez des professionnels incompétents, il s’est avéré que la prise de Diane 35 ainsi que des carences alimentaires dont j’ignorais l’existence étaient responsables de ma chute de cheveux. Mon manque de vitamines faisait tomber mes cheveux, et cette pilule empêchait leur repousse. En parallèle, une amie m’a confié que sa mère, affaiblie par la maladie et sous Diane 35, avait perdu une partie de ses cheveux et qu’ils n’avaient jamais repoussés. Donc il semblerait que Diane 35, sur un organisme déjà affaibli, contribuerait donc à la chute des cheveux existants et bloquerait la pousse de nouveaux cheveux, de façon plus ou moins réversible. Maintenant que le problème des cheveux semble être réglé, je me bats contre un acné sévère lié à l’arrêt de cette pilule depuis un an. Quand il n’y en a plus, il y en a encore ! En tout cas, j’espère que mon message servira à d’autres femmes souffrant des mêmes symptômes. Bon courage à toutes <3

        Répondre
        Ninon Bour - 23 octobre 2019
        1. Merci Ninon pour ce retour, je constate en effet les mêmes effets chez les femmes qui m’écrivent…

          Répondre
          Sabrina Debusquat - 23 octobre 2019
          1. Chère Sabrina, me revoilà de retour. On est en mai 2020, mes cheveux ont presque totalement repoussés et mon acné commence ENFIN à partir, 2 ans après mon arrêt de pilule.

            Mon acné était si prononcé au début que Roaccutane semblait être ma dernière chance pour tous les dermatos que j’ai rencontrés, mais la récente amélioration me pousse à partager mon expérience.

            Un bon dermato m’a donné une morning et une night routines à base de crèmes que je répète depuis des mois (à base d’acide azélaique, de peroxyde benzoyl et de crème trétinoide). En parallèle, j’ai aussi décidé de tout changer: appliquer ma routine de peau tous les jours en ayant toujours les mains lavées et en séchant mon visage chaque fois avec un mouchoir propre (adieu les serviettes de bain); arrêter le sucre et le gras dans l’alimentation ; opter pour une taie d’oreiller en soie qui irrite beaucoup moins la peau ; et arrêter le déodorant (pouvant être un perturbateur endocrinien) en le remplaçant par du talc en sortant de la douche tous les matins.

            Ça peut paraître bateau, mais la combinaison taie + plus de déo donne des résultats hallucinants.

            Bon courage à toutes ♡

            Ninon - 23 mai 2020
          2. Merci Ninon pour ton retour, super contente por toi ! (même si je suppose quand même que toute mesure “extérieure” (cosmétique, soin de peau ou autre) ne peut jamais vraiment à elle seule totalement résoudre le problème et que dans ton cas la cause profonde du problème a également du se régler en même temps 🙂

            Sabrina Debusquat - 25 mai 2020
  8. Hello ! J’étais venue sur le blog cet hiver… Je suis désormais à 7 mois 1/2 d’arrêt de la pilule.

    Toujours 20/30 boutons dans le dos… Mais ils ont l’air de sécher… Je n’ai jamais eu de boutons sur le visage, mais petite crise ce mois-ci et j’en ai 4/5…

    J’ai pris du poids. J’ai constamment faim. Je suis passée de 57/58 à 63,5 Kilos… J’ai les seins gonflés, qui me font constamment mal… Des douleurs affreuses avant les règles…

    Plus le temps passe, et moins j’ai envie de la reprendre. J’ai envie de passer le cap des 2/3 ans sans pilule… Mais en ce moment je ne vois que des effets négatifs. Rien de positif…

    On verra l’évolution dans les mois à venir…

    Répondre
    Estelle - 22 juin 2018
    1. Courage et n’hésite pas à faire une petite cure pour ton foie (artichaut/radis noir/desmodoum, etc.) ça aide généralement pas mal pour l’acné.

      Si cela peut t’aider nous sommes nombreuses à avoir subi cela plusieurs années avant que tout revienne à la normale. Courage dans ta démarche.

      Plein de bonnes ondes.

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 25 juin 2018
  9. Bonjour Sabrina,

    J’ai lu votre livre la semaine dernière et je dois dire qu’il m’a réellement ouvert les yeux et apporté un sentiment concret sur la pilule ! C’est du très beau travail !

    J’ai commencé à prendre la pilule à 17 ans car effectivement, on ne m’a pas proposé d’autres moyens de contraception ! De mes 17 ans à mes 22 ans très peu d’effets indésirables (si ce n’est les troubles de l’humeur). A 22 ans, comme par magie (ironie), de nombreux effets indésirables sont apparus (troubles de l’humeur beaucoup plus intenses, baisse de libido gigantesque, bouffée de chaleur, insomnie à certain moment du cycle, migraines alors que je ne suis pas sujette, et j’en passe et des meilleures). On se pose alors des questions existentielles, suis je en train de développer une maladie super méga grave ? Et non, biensur que non, c’était cette p***** de foutue pilule !!!!!!!!

    Quand vous dites à votre entourage qu’à 24 ans (sans désir d’enfants, pour le moment!) que vous souhaitez arrêter la pilule, on vous regarde comme si vous aviez tué quelqu’un. Même les médecins/gynécologues disent “faites attention, ce n’est pas raisonnable” ou encore “les effets indésirables de la pilule n’existent pas, il faut arrêter avec ça!”

    Je me suis complétement retrouvée dans votre livre et je souhaite que beaucoup d’hommes le lisent pour comprendre ce qu’on peut endurer !

    En vous remerciant,

    Manon!

    Répondre
    Manon R - 11 avril 2018
    1. Je n’ai pas grand chose à ajouter hormis merci beaucoup Manon pour ce message qui me va droit au coeur ! Je suis justement actuellement sur un projet de livre pour vous aider à mieux passer l’après-pilule pour celles que cela intéresse 😉

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 18 avril 2018
  10. Bonjour Sabrina,

    Je trouve ton enquête très intéressante cependant, une question me chiffonne.
    Les femmes qui ont répondu au questionnaire, elles viennent de quels réseaux sociaux/groupes facebook ?

    Merci

    Répondre
    mieldauphin - 19 février 2018
    1. Elles ne viennent pas forcément d’un réseau social sinon cela serait absolument totalement biaisé, j’ai mobilisé avec mes éditeurs et Martin Winckler de très nombreuses internautes de tous horizons.

      A savoir, contrairement à ce qui a été dit/écrit par beaucoup de médias, ce sondage a simplement vocation à recueillir une parole féminine que je ne trouvais exprimée nulle part ailleurs (hormis sur des forums Internet) et ne vient là que pour compléter mon enquête d’une année qui se base elle sur la littérature scientifique de la meilleure qualité possible disponible sur la pilule (le tout décortiqué et relu par 7 spécialistes différents gynécologues, généraliste, toxicologues, etc.) Il n’est pas du tout la base de mon enquête (heureusement car cela n’aurait aucune valeur scientifique), mais un petit plus.

      Comme indiqué dans le livre, le sondage n’est pas réalisé selon méthode des quotas donc ne vaut que pour l’avis de 3 616 femmes, plutôt jeunes et CSP + (les détails ici avec l’intégralité du sondage accessible en ligne : SONDAGE LES FEMMES ET LA PILULE

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 19 février 2018
  11. Merci mille fois. Merci mille fois de dire tout haut ce que nombre de médecins pensent tout bas mais n’ose pas’ le dire ! J’ai été victime d’un AVC ischémique le 26 Juillet 2016. Je fumais et je prenais là pilules (Jasminelle). J’avais 20 ans. Je prenai la pilule depuis mes 15 ans. 15 ans; l’âge où ont commencées mes insoutenables migraines…. je n’avais jamais fais le lien avant mon AVC, depuis l’arrêt…. plus de migraines. La pilule est tout simplement du poison, une merde sans nom, qu’on continue de délivrer sans aucuns examens. J’ai eu de la chances. Je n’ai pas eu de séquelles. Merci mille fois de partager votre opinion dans ce livre. Quand je l’ai vu à la Fnac, je l’ai acheté sans me poser de questions… J’essaie encore de convaincre des amies, ma soeur… d’arrêter la pilule. Mon AVC aurait pu me coûter la vie. Mais je pense à toutes celles qui l’ont perdues à cause d’embolies pulmonaires, d’AVC…. C’est encore un sujet tabou, merci d’en parler comme vous le faites.

    Répondre
    Lennicks - 13 février 2018
    1. Et merci beaucoup à vous pour votre soutien et d’avoir partagé ce témoignage <3
      Effectivement, ce n'est pas tous les jours facile d'avoir publié cette enquête mais je suis fière en me regardant chaque matin dans la glace et je ne reçois que des messages de lecteurs comme le vôtre. Et ça, ca vat tout l'or du monde. C'est tout ce qui m'importe.

      Ravie si mon livre vous a fait sentir moins seule, il a effectivement libéré la parole chez de nombreuses femmes à propos des effets secondaire de la pilule. Le reste, à l'histoire de s'en charger ! Comme je l'écris dans la conclusion " Le meilleur reste à inventer. Pour le réaliser, il va falloir mobiliser toutes les énergies sans se perdre dans des luttes intestines. Aussi, réjouissons-nous ! L’histoire contraceptive n’en est qu’à ses débuts et il ne tient qu’à nous de nous allier pour que les utopies des femmes d’aujourd’hui deviennent la réalité de demain. Comme l’ont fait avant nous nos mères et nos grands-mères…" 😉

      J'ai la folie de croire qu'un jour, oui, plus personne ne mourra ou ne souffrira de sa contraception. Et j'ose le dire !

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 13 février 2018
  12. Merci pour ce livre, toutes les femmes devraient le lire!

    Répondre
    Fanny - 28 janvier 2018
    1. Merci à vous Fanny d’avoir pris le temps de m’écrire ce gentil message.
      N’hésitez ps à nous dire ici en détails précisément ce qui vous a plu 🙂

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 29 janvier 2018
  13. Bonsoir, je n’ai pas encore eu la chance de me procurer votre livre mais j’ai hâte de l’avoir entre les mains ! Je m’appelle Typhaine et j’ai été victime d’une grosse embolie pulmonaire à cause de la pilule… où j’ai failli mourir à un jour près…. depuis je fais tout pour mettre en garde les personnes que je connais, voire même les inciter à arrêter de la prendre ! Je vous mets le lien de mon témoignage sur le site de l’AVEP si ça vous intéresse :

    http://www.avep-asso.org/temoignages/typhaine-26-ans-victime-dune-embolie-pulmonaire-leeloo-ge

    En tout cas j’approuve ce que vous avez fait pour publier ce livre ! Vous avez tout mon soutien ! Bonne continuation

    Répondre
    Typhaine - 9 janvier 2018
    1. Bonsoir Typhaine et merci beaucoup pour ce gentil message. Vous avez malheureusement failli faire partie des malheureuses victimes annuelles de la pilule et vous avez bien raison d’en parler car il n’y a pas de raison que les femmes ne réussissent pas à obtenir une contracepion sans souffrances ni risques de décès, c’est un combat féministe comme un autre dont la société devrait se saisir avec sérieux. Votre témoignage est évidemment bouleversant comme tous ceux de l’AVEP que j’ai lus avec attention quand j’ai préparé mon livre (j’en cite quelques uns).

      Merci pour votre soutien et ce livre a au moins le mérite de poser les faits sur la table sans idéologie (ni pro ni anti pilule), ce qui ne pourra que servir pour toutes celles comme vous qui souhaiteront faire avancer le débat et les choses !

      Belle soirée.

      PS : si vous vous intéressez au sujet et souhaitez relayer certains articles, vous avez à disposition en libre accès le site du livre qui fait figurer le grand sondage réalisé durant mon enquête en intégralité, des interviews, articles autour de la contraception et surtout de nombreux autres témoignages sur les effets secondaires bénins. Si vous habitez Lyon, Paris, Montpellier ou Le Mans je serai prochainement de passage dans votre ville en rencontre avec le public, vous pouvez savoir où et quand ici : http://jarretelapilule.fr/category/rencontres/

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 10 janvier 2018
      1. Merci beaucoup pour votre réponse ! Et oui je continuerai à faire savoir aux femmes les risques liés à la pilule.. ce petit comprimé si petit vu de l’extérieur mais si puissant à l’intérieur…
        Merci également pour les liens. J’aurai bien aimé vous rencontrer mais malheureusement j’habite aux alentours de Vichy en Auvergne (beaucoup trop loin pour les lieux de dédicaces prévus). C’est bien dommage !

        Bonne après-midi !

        Répondre
        Typhaine - 11 janvier 2018
        1. Avec plaisir, bonne continuation et merci à vous pour ce soutien 🙂

          Répondre
          Sabrina Debusquat - 11 janvier 2018
  14. Bon, petit commentaire habituel hebdomadaire… J’ai acheté ton livre que j’ai trouvé sur la Fnac. Je pense qu’il mérite d’être connu. Si tu as besoin de soutien ou de fonds, n’hesites pas à m’écrire par e-mail.

    Je pense qu’on devrait quasi toutes arrêter la pilule… Je regrette de l’avoir prise pendant 10 ans, sachant que c’est mon généraliste qui me l’avait prescrite pour des problèmes d’acne quand j’avais 13 ans…

    Je comprends mieux le scandale des 3/4e Générations + Diane35, finalement bien justifié…

    Répondre
    Estelle - 12 décembre 2017
    1. Ha ha Ca y est tu prends tes habitudes ? 🙂
      Eh bien écoute, moi je me garde bien de donner mon avis à ce sujet sachant que désormais, même avoir un avis suite à une année d’investigation est “compliqué”, alors je ne dis plus rien, tout est dans le livre basé sur des faits et chacun se fera son propre avis !

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 12 décembre 2017
  15. Merci beaucoup pour votre livre, j’ai appris énormément et trouvé le courage de faire un gros changement dans ma vie.
    Prévoyez-vous une traduction en anglais ?
    Si non, auriez-vous des recommandations de lectures en anglais sur le sujet ?

    Répondre
    Florence - 19 novembre 2017
    1. Bonjour Florence et merci 🙂
      Une traduction est effectivement envisagée.
      Côté lecture il n’y a malheureusement pas grand-chose, voici une partie de la bilbiographie lue pour l’enquête (tout dépend si vous vous intéressez à l’hisyoire de la pilule ou à ses effets sur la santé ou l’environnement car le champ est vaste) :

      Bibliographie

      L’histoire de la pilule
      Version romancée : The Birth of Pill. How four pioneers reinveted sex and launch a revolution. Jonathan Eig. MacMillan, 2014. (Version française Libre comme un homme, éditions Globe, 2017).
      Côté américain : America + The pill. A history of promise, peril and liberation. Elaine Tyler May. Basic Books, 2010.
      Côté français : Génération Pilule. Etienne Émile Beaulieu. Odile Jacob, 1990.
      La pilule, et après ? Catherine Valabrègue, Sandrine Treiner. Stock, 1996.
      Côté scientifique : Sexual chemistry, a history of the contraceptive pill. Lara V.Marks.Yale University Press, 2001.
      D’un point de vue sexiste et raciste : Reproducing empire. Laura Briggs. University of California Press, 2002.

      Pilule et santé :
      Amère Pilule. Ellen Grant. Écologie humaine, 2013.
      La pilule, un bienfait pour ma santé, ma fertilité ? Nicolas Lambert. Éditions Connaissances et Savoirs, 2016.
      Dossier hormones. De la contraception à la ménopause. Barbara et Gideon Seaman. L’impatient, 1982.
      Scandales, la santé des femmes en danger. Pilules de troisième génération, vaccin anti cancer du col de l’utérus. Réponses d’une gynécologue en colère. Dr. Marie-Claude Benattar. Éditions J.Lyon, 2013.
      The Pill Problem: How to Protect Your Health from the Side Effects of Oral Contraceptives. Ross Pelton. Book Baby, 2013.
      Les violences médicales :
      Les brutes en blanc. Martin Winckler. Flammarion, 2016.
      La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne. Marc Girard. Auto édition, 2013.

      Féminisme :
      Sweetening the pill. How we got hooked on hormonal birth control. Holly Grigg-Spall. Zero Books, 2013.

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 19 novembre 2017
      1. Merci beaucoup pour la bibliographie, je garderai l’oeil ouvert pour la traduction!

        Répondre
        Florence - 21 novembre 2017
        1. Avec plaisir 🙂

          Répondre
          Sabrina Debusquat - 21 novembre 2017
  16. chère madame,

    J’ai lu avec beaucoup d’intérêt votre livre et j’ai retrouvé quantité de réflexions que je nourris depuis de très nombreuses années sur ce sujet. Je suis heureux qu’une femme face cette analyse aussi précise et METTE en lumière que la contraception ne convient pas à toutes les femmes. cet ouvrage est très complet sur les DIFFÉRENTES méthodes, mais il manque de mon point de vue une méthode : L’ÉTREINTE réservée. nous l’avons découvert il y a une quinzaine d’années avec ma femme et nous en sommes très heureux.
    si vous souhaitez en savoir plus, connectez vous au site INTERNET EN RECHERCHANT “étreinte réservée” dans un moteur de recherche. je me tiens aussi à votre disposition pour d’autres RENSEIGNEMENTS. cordialement.

    Répondre
    pierre - 1 octobre 2017
    1. Bonjour Pierre et merci pour ce gentil message,

      Je connais l’étreinte réservée mais, dans un livre grand public abordant la contraception, la place réservée à l’abstinence périodique ou à ce type d’étreintes a une place limitée parce que ce n’est pas ce que recherchent la plupart des couples, tout simplement 🙂

      Chaleureusement.

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 1 octobre 2017
  17. J’ai lu avec effarement votre article dans france ANTILLES. J’AI PLUS DE 70 ANS ET AI PRIS LA PILULE DE NOMBREUSES ANNEES, SANS AUCUN PROBLeME. PAS DE PROBLEME DE LIBIDO… AU CONTRAIRE. C’EST QUAND J’AI DÛ ARRETER DE LA PRENDRE QUE LA LIBIDO A BAISSE, ACCOMPANEE DE SECHERESSE VAGINALE…
    jE SERAIS DONC LA 3ème A APPORTER UN AVIS POSITIF. c’EST RIDICULE !!! CELA NE M’eTONNE PAS QUE m. wINCKLER AIT REFUSE DE REDIGER UNE PREFACE A VOTRE LIVRE… CELA N’EST VRAIMENT PAS SERIEUX…

    Répondre
    delattre - 26 septembre 2017
    1. Bonjour Sylvie,

      J’imagine qu’avant de poster ce commentaire vous n’avez pas lu les 300 pages de mon livre sinon vous sauriez que je ne dis rien contre la pilule dans mon livre mais que j’informe simplement du compte rendu d’une année d’enquête réalisée avec d’éminents experts et sans idéologie, n’en déplaise à mes détracteurs. Votre cas particulier ne doit pas faire oublier les nombreuses femmes qui souffrent d’effets secondaires sous pilule qui rognent leur bien-être quotidien. Ce livre questionne à travers des faits et des travaux scientifiques étoffés qui nous démontrent que nous ne pouvons décemment pas nous exposer à des perturbateurs endocriniens sans que cela ne perturbe a minima de multiples fonctions corporelles (et souvent pas pour le meilleur), point.

      Vous avez le droit de ne pas être d’accord et je n’ai aucun problème avec le fait que l’on ne pense pas comme moi, ce qui était le cas de Martin. Si vous préferez vous baser sur un buzz médiatique plutôt que de vous faire votre propre opinion, c’est votre choix mais je ne vous cache pas que l’opinion toute faite de gens qui n’ont pas lu mon travail m’intéresse assez peu.

      Sur ce, très bonne soirée.

      NB : si vous avez souffert de sécheresse vaginale en arrêtant la pilule (visiblement à la ménopause d’après ce que vous me dites), c’est probablement tout simplement parce qu’à la ménopause les oestrogènes permettant la lubrification vaginale sont sécretés en moindre quantité.

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 26 septembre 2017
      1. [reçu par mail et posté par les modérateurs car l’envoi ne fonctionnait pas]

        J’avoue que la réponse est trash mais correcte. Je n’ai pas lu le livre non plus, cependant infirmière sage-femme et accompagnante de la féminité au naturel je ne peux qu’être d’accord avec vous.

        La pilule qu’on le veuille ou non a des effets clairement délétères. Comment croire que l’on peut passer sa vie entière à avaler des perturbateurs endocriniens…sans conséquence. De plus, certes tout le monde ne réagit pas de la même manière face au même médicament, cependant il est honteux de cacher les effets secondaires rééllement possibles- cependant il est honteux d’occulter les faits de thromboses, d’AVC et bien d’autres troubles liés à la prise d’hormones…

        Alors madame, en effet… si vous avez arrêté la pilule en périménopause… il se peut que vôtre secheresse vaginale soit plutôt liée aux chutes hormonales physiologiques à cette période de la vie d’une femme.

        Belle journée…

        Soyez En Harmonie…

        http://www.kaleidoscope-la-femme-en-harmonie.com

        Karidja

        Répondre
        Sabrina Debusquat - 1 octobre 2017
  18. bONJOUR

    cela fait une dizaine d’annees que j’ai arrete la pillule

    si j’aCHETEte votre livre va t il m’etre utile ou est il FAIT pour les femmes qui veulent sauter le pas ?

    merci

    Répondre
    laetitia - 13 septembre 2017
    1. Bonjour L’artichaut, il s’adresse à tout le monde, y compris les hommes et parle histoire, société et environnement ainsi que détails des autres contraceptions disponibles donc oui il pourra vous intéresser.

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 13 septembre 2017
  19. bonjour,

    merci beaucoup pour votre livre! on se sent moins seule! j’ai décidé d’arrêter la pilule en continu (cerazette) pour ne plus prendre d’hormones chimiques (trop de doutes sur les conséquences pour notre santé). en pleine pré-ménopause, mes cycles sont plus courts et je souffre du syndrome prémenstruel. si je parle de mes désagréments à mon gynécologue, la seule réponse est de reprendre la pilule. c’est vrai que c’est confortable mais l’on est insuffisamment informée sur ses effets délétères. dans le doute, je préfère tout de même stopper la prise de pilule. votre livre parle de la pilule à des fins de contraception. votre avis m’intéresse pour la période pré-ménopause et ménopause. le souci n’est plus la contraception mais de mieux traverser cette période de tempête hormonale. Encore merci et félicitation pour votre ouvrage!

    Répondre
    patricia - 8 septembre 2017
    1. Merci Patricia, pour la ménopause je n’ai malheureusement pas creusé le sujetemps (il y avait déjà beaucoup à faire !)

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 8 septembre 2017
    2. PAtricia, avez-vous déjà pensé au GATTILIER?

      Répondre
      Sandra - 8 septembre 2017
  20. J’AI pré commandé votre livre et j’ai HÂTE de le recevoir !
    cela fait plusieurs mois que je souhaite ARRÊTER ma pilule (optidril continue). J’ai consulté mon gyneco en lui proposant l’idée de passer au STÉRILET sans hormones mais j’ai eu le droit a un refus catégorique du fait que je suis jeune (26 ans) et que d’ici sous peu, il faudrait penser aux enfants. c’est donc avec grand INTÉRÊT que j’attends le livre pour rendre a mon corps son naturel et rendre notre terre un peu moins polluée !
    je pense tout de même ARRÊTER ma pilule directement apres la fin de ma plaquette sans passer par les espacements de pilule. Est-ce une bonne idée ?
    En tout cas, merci pour les articles et ce livre !!

    Répondre
    weerawardana laura - 7 septembre 2017
  21. Livre pré-commandé 😀 j’ai super hâte de le lire…

    Répondre
    Sandra - 4 septembre 2017
    1. Merci Sandra ! Hâte de ton retour !

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 4 septembre 2017
  22. ‘… celles Et ceux qui nous ont précédé.’
    Précédés. Avec un s. Car le verbe est transitif.

    Sinon. Oui, il Faut se poser des questions sur les pratiques nouvelles dans Nos vies. Et l’impact de l’industrie médicamenteuse sur notre santé. C’est bien de remuer les idées figees des médecins, perroquets pharmaceutiques.

    Répondre
    Tony Reix - 2 septembre 2017
    1. Merci Tony, coquille corrigée. Mon livre entend effectivement une parole féminine pour analyser un phénomène : les femmes arrêtent de plus en plus la pilule. Pourquoi ? Ce qu’elles expérimentent sous pilule trouve-t-il des explications scientifiques fiables ? Etc. Remuer les “idées figées” s’annonce ardu (cf. articles publiés hier dans ELLE et Grazia auxquels je vais apporter un droit de réponse détaillé sur http://jarretelapilule.fr/category/presse/) d’autant plus que, comme je l’explique “il ne faut pas tirer le messager”, j’a juste fait mon boulot en amassant des faits, je n’ai pas “choisi” les résultats de mon enquête.

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 2 septembre 2017
  23. BOnjour Sabrina,
    je souhaite acheter votre LIVRE, comment doit on PROCÉDER?
    J’ai bientôt 27 ans et cela fait bientôt 8 ans que je prend la pilule jasminelle. Je souhaite arrêter mais J’ai du mal à comprendre cette histoire de sevrage. Il faut faire 1er mois = 6 piLules/semaine puis 2eme mois = 5 pilules/semaine etc..? Il Faut Tenir 3 semaines ou le mois entier?
    Mon objectif est de connaître à nouveau mon vrai cycle Et voir si je peux accéder au diu en cuivre.
    Merci pour vos Articles et pour votre aide.

    Répondre
    Mabo - 25 août 2017
    1. Bonjour Mabo, le livre sera dans toutes les librairies, FNAC, Cultura, Maisons de la presse, Espaces culturels Leclers, etc. et sur Internet.
      Pour le stérilet il faut voir avec votre gynéco mais sauf contre-indication rare vous pouvez tenter le DIU dès l’arrêt de votre pilule. Pour le sevrage, j’en parle plus en détail dans le livre mais c’est en gros en espaçant la prise des cachets : espaçant la prise de vos cachets. Vous prenez un cachet d’abord 1 jour sur 2, puis 1 jour sur 3, etc. en changeant de pallier tous les 15 jours. Par contre, couper les cachets réduit leur efficacité et n’apparaît donc pas comme une bonne solution.

      A plus tard !

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 25 août 2017
      1. Bonjour Sabrina,
        J’ai finalement acheté et lu votre livre. je me suis décidée et je commence le sevrage progressif sur 3 mois. j’ai parlé a mon médecin traitant de ma décision, elle a été très a l’écoute et compréhensive (CE QUI M’a surprise, je dois l’avouer). je ne lui ai pas parlé du sevrage mais je pense que c’est vraiment la meilleure option.
        Merci encore pour vos informations.

        Répondre
        MABO - 6 octobre 2017
        1. Avec plaisir 🙂

          Répondre
          Sabrina Debusquat - 9 octobre 2017
  24. BOnjour,
    Jai parcouru votre forum avec grand intérêt et ai opté pour l’arret de la pillule avec sevrage PROGRESSif cependant une question me préoccupe:
    En prenant les comprimés en sautant les JOurs en ESPacant petit a petit sur 6 mois par exemple, les règles SURVIENNEnt quand même ou pas? La prend t’on en continue? Eclaire moi a ce sujet svp car j’hésite du coup a l’arreter d’un coup.connait t’on le RETOur de la libido des le premier mois en appliquant le sevrage progressif?
    Merci pour votre REPOnse

    Répondre
    Christelle - 18 août 2017
    1. Bonjour Christelle, cela dépend des femmes, certaines ont des petites règles ou du spotting, cela dépend de la femme et de la pilule donc pas de réponse toute faite (mais en même temps le sevrage est une période transitoire, il ne faut pas s’attendre à ce que le corps réagisse “normalement” puisqu’il est encore dans un “entre deux” avec et sans hormones). Pour la prise en continu, oui, tu oublie la semaine de pose pendant le sevrage puisque le but est d’avoir un apport constant et décroissant d’hormones, on évite de perturber encore le corps avec un arrêt brutal d’une semaine. Pour la libido cela dépend de chacune mais la plupart des femmes témoignent la retrouver rapidement, particulièrement quand le sevrage est totalement fini. Pour d’autres des mois après, pour une minorité, aucun changement voire même une baisse (cela dépend encore une fois de très nombreux paramètres). Je t’invite à lire mon livre J’arrête la pilule qui sort le 6 septembre afin d’en savoir plus à ce sujet car j’en parle pas mal.

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 21 août 2017
      1. Merci POur ta RÉPONSE.oui J’ATTENDS le livre avec impatience qui est deja commande et paye d’ailleurs.dernière petite question, jai tenté d’arreter la pilule il y a 3 ans sans sevrage car je connaissais pas cette POSSIBILITÉ.jai eu de l’acne sur toute la gorge des le 2eme mois je n’avais eu une telle acnee Dans ma vie Si bien que jai repris aussi tôt donc un arrêt de 3 mois seulement.l’acne a PERsiste 6 mois de plus pour disparaître avec cicatrices.jai vraiment peur de repasser par là est ce que le sevrage progressif diminue fortement ce RISque ou non?

        Répondre
        Christelle - 21 août 2017
        1. Super Christelle et merci pour cet achat 🙂
          Il semblerait, d’après les témoignages que j’ai recueillis que le sevrage aide effectivement beaucoup de femmes à réduire l’acné à l’arrêt. Mais il n’y a aucune étude sur le sujet donc ce ne sont que des statistiques personnelles.

          Répondre
          Sabrina Debusquat - 21 août 2017
  25. J’ai vraiment hâte de lire ce livre.

    Avant, j’y croyais dur comme fer au slogan “la meilleure contraception, c’est celle que l’on choisit”. J’avais épluché le site choisirsacontraception.com qui m’avait vendu du rêve. Aujourd’hui, je dirais plutôt “désillusion, j’écris ton nom”. Car quand on ne veut pas d’hormones après avoir pris connaissance de tous les effets secondaires, le choix est drastiquement réduit. Il nous reste le D.I.U. au cuivre, les préservatifs et les méthodes dites naturelles. Le préservatif, on ne va pas se mentir, c’est nul. Les méthodes naturelles, quand on a trop peur de tomber enceinte comme moi, on ne tente pas. Il ne reste que le stérilet, à condition de trouver un praticien compétent pour une pose sans douleur et de croiser les doigts pour bien le tolérer. Et si on ne le supporte pas ? Alors là, je suis à court d’idées… Peut-être la stérilisation, sauf pour celles qui ont un projet d’enfant. Et encore, on commence à tirer la sonnette d’alarme à propos du dispositif Essure, donc il n’y a plus que la ligature des trompes. Quant à la contraception pour hommes ou la stérilisation masculine, ouhlala il y a encore du chemin à faire !

    En ce qui me concerne, je compte tenter le stérilet à l’automne 2017 ; et je croise très fort les doigts pour que tout se passe bien !

    Pour finir, un grand merci pour ce partage d’informations, c’est important de ne pas se faire pigeonner. =)

    Répondre
    Delphine - 3 avril 2017
    1. Salut Delphine, oui, nous sommes malheureusemnt nombreuses à faire ce constat, quand la pilule n’est plus supportée et le stérilet non plus… retour à l’âge de pierre contraceptif et misogyne. Les préservatifs se sont en revanche énormément améliorés (texture très fines) et avec les méthodes naturelles bien appliquées tu peux n’avoir à les utiliser que quelques jours par mois (eux ou un diaphragme, encore mieux, qui préserve le plaisir des deux partenaires et qui, bien utilisé a présenté des taux d’échecs similaires au préservatifs (2 %)). Donc il y a des solutions mais pas suffisamment c’est clair. C’est pour ça que ce livre abordera aussi le fait que la contraception pour avancer va nécessiter une réelle mobilisation publique.

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 4 avril 2017
  26. Bonjour le livre est il sorti ? Merci

    Répondre
    PlancQ - 18 mars 2017
    1. Bonjour Valérie, non, comme écrit dans l’article, la sortie est prévue pour octobre 2017 🙂

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 18 mars 2017
  27. Merci pour cet article, je vais acheter ce livre. J’ai arrêté la pilule il ya plus de 15 ans et on m’a prise pour une folle, quand je leur disais que la pilule n’était pas bon pour la santé, et que cela polluait la terre.

    1. Avec plaisir 🙂
      La pilule est, pour ne citer que cela, classée cancérogène de première catégorie pour le foie, les voies biliaires, les seins et le col de l’utérus depuis 2005 par le CIRC et pour le reste c’est effectivemet plutôt préocuppant pour la faune.

  28. J’ai répondu a votre sondage mais j’aimerais ajouter un point. Je suis très contente d’avoir découvert l’implant qui m’aurais jamais spontanément été proposer par une gynéco si je n’avais pas eu de migraines a aura. Je m’explique, j’ai pris la pillule oeustro progestative pendant un moment. Suite a des migraines a Aura ( contre indication) j’ai du passé a la pillule progestative. En changeant de ville ma nouvelle gynéco m’as dis ” vous prenez cerazette depuis un an conaissez vous l’implant contraceptif? ” Elle m’as expliquer, j’ai decider d’essayer, et ca m’as liberer du fait de devoir prendre la pillule a heure regulière, tranquille pour trois ans ( ca fait un an maintenant).

    Après je suis peut etre pas un bon exemple car j’ai pas d’effets secondaire exeptée une petite acnée et un espacement des regles ( pour moi c’est un avantage) mais voyageant beaucoup a l’étranger, et ayant des journées très chagées et pas toujours régulière ca me conviens parfaitement.

    Je voulais en parlez ici car même si j’ai très bien toléré la pillule, avec le recule j’aurais aimé a 16 ans utiliser directement l’implant. Mais on en parle pas assez, surtout quand on arrive chez le gynéco en disant ” bonjour je viens pour la pillule” ( mes deux gynéco étaient top je leur reproche pas du tout car j’étais sure de moi a l’époque, en plus elles sont hyper respectueuses a l’écoute de mes craintes de l’époque très réactives quand j’ai eu mes migraines bref des vrai professionnelles). En fait je crois que j’aimerais qu’on en parle plus dans les médias livres y compris ( sans mettre de coté les effets secondaires qui sont apparemment fréquent) pour qu’on ait vraiment le choix .

    Répondre
    Dinoaplumes - 9 février 2017
    1. D’ailleurs je voulais rajouter le commentaire desagréable d’une generaliste( nouvelle car deménagement qui voulais me pousser a changer pour une pillule oeustroprogestative car ” quand meme vous avez des boutons” en insistant alors que je ne veux pas jusqu’à que je lui dise ” je peux pas migraines a aura” ” passez au strérilet alors” et qui a insister ensuite pour que je passe au stérilet. Je consultait pour totalement autre chose mais je présice les médicaments que je prend au début de chaque consultation avec un médecin ” nouveau” . C’est marrant qu’on ait autant de mal a croire qu’une fille peut se ficher d’avoir de très légers boutons ^^

      Répondre
      Dinoaplumes - 9 février 2017
      1. Bonjour Dino à plumes (sacré pseudo ! un petit côté amérinidien, “salut moi c’est Castor à poil” ha ha !)
        Trève de plaisanterie, oui, c’est tout l’objet de ce livre que les femmes choisissent leur contraception de manière libre et éclairée en choisissant par elles-mêmes et pour elles-mêmes les critères qui importent pour elles. Certaines voudront éviter ceci, d’autres cela et le médecin doit présenter TOUTES les solutions pour que sa patiente choississe par elle-même. Son rôle est un rôle de conseil et non d’imposition.

        La pilule n’est pas la contraception la plus efficace ni la moins contraignante, ni celle qui a le moins d’effets secondaires indésirables aussi elle n’a pas à être systématiquement prescrite. Tout cela fait partie du combat pour le droit des femmes, en attendant que la science/médecine trouve la contraception parfaite et sans effets secondaires (il en existe déjà mais avec quelques contraintes, on en parlera dans le livre) ou une contraception masculine. On n’en parle jamais mais, la femme est fertile à peine quelque jours par mois et l’homme 24h/24 alors pourquoi serait-ce systématiquement aux femmes d’assumer cette charge ? De même, l’idée de la pilule pour femme a germée en 1951 et était sur le marché en 1956, à peine cinq ans plus tard ! La pilule pour homme est en développement depuis soixante ans et toujours rien (parce que des essais montrent des effets secondaires similaires à ceux que nous subissons déjà sous pilule)…

        A savoir aussi, la pilule est un cancérogène de Catégorie I pour le cancer du sein, du col de l’utérus et du foie. Chaque femme doit donc se poser la question de ce qu’elle est prête à accepter pour ne pas tomber enceinte. Conclusion : les femmes doivent savoir pour pouvoir demander mieux.
        Est-il acceptable qu’une minorité de malchanceuses en pleine santé se retrouvent avec un cancer ou des effets secondaires quotidiens à cause du simple fait qu’elles sont des femmes ? Personnellement je pose la question et je pousse le féminisme jusqu’au bout.

        Bref, Castor à poil rentre à nouveau dans sa tanière pour écrire son livre ^^

        A bientôt Dino !

        Répondre
        Sabrina Debusquat - 10 février 2017
  29. bOnjour! J’aimerais savoir si le livre est déjà paru? Hâte de le lire en tout cas 🙂

    Répondre
    Elisa - 19 janvier 2017
    1. Non Elisa, pas encore 🙂
      Comme écrit dans l’article, parution à l’hiver 2017 chez Les Liens qui Libèrent.

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 19 janvier 2017
  30. Intéressant. Sage-femme peu traditionnelle, je cherche un moyen efficace pr accompagner les femmes au travers de leur feminité. Moi-même parfois en lutte avec mon corps, et l’acceptation de celui-ci! J’ai 33 ans et je n’ai jamais pris la pilule et je n’ai pas de grossesse a déclarer non plus, je suis persuadée qu’une bonne connaissance de son corps est la seule clef efficace et valable! Oulant accompagner les femmes de manière naturelle: fleurs de bach, homeo, aroma, gemmotherapie, ayurveda. La symptothermie rentrera parfaite dans ce cadre! Belle initiative et j’attends ce livre…

    Répondre
    karidja - 5 janvier 2017
    1. Salut Karidja,

      On parlera d’ailleurs de la sympto dans ce livre et des débats féministes qu’ouvre ce nouveau phénomène “anti-pilule” car tous ceux qui dénoncent la pilule ne sont pas exempts d’intérêts personnels !

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 5 janvier 2017
  31. MErci pour cet article, et ce livre. J’ai arrêté la pilule en juin et c’est une catastrophe. Mes cycles durent 41 à 50 jours, j’ai des crampes de R pendant deux semaines sans qu’elles viennent… je ne sais même pas quoi faire (RDV pris chez le gynéco mais bon…) Je désespère vraiment. D’autant plus qu’il y a 4 ans je ne la prenais pas non plus et mes cycles étaient autour de 30 jours jamais plus.

    Répondre
    jojo - 5 janvier 2017
    1. Merci de ton enthousisame Jojo, il est partagé 🙂

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 5 janvier 2017
  32. Sérieusement, là plus grosse raison n’est pas écologique mais bien médicale! Les contraceptifs oraux (comme les traitements substitutifs hormonaux) sont connus pour être cancérigènes de grade 1!
    C’est pour moi une raison suffisante pour orienter mes patiente et les aider à trouver une autre méthode sur du long terme!

    Répondre
    Nesen Marylise (sage femme) - 5 janvier 2017
    1. Tout à fait et d’ailleurs ce livre est un livre d’investigation qui aura pour but, dans un de ces chapitres, de lister tous les méfaits actuellement connus de la pilule (avérés et soupçonnés) le plus objectivement possible, sans être à charge et en détaillant pour chaque étude concernée s’il y a conflit d’intérêts des scientifiques qui la réalisent.

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 5 janvier 2017
  33. j’ai vraiment hâte que le livre sorte. L’arrêt de la pilule en soit ne m’inquiète pas trop, le problème c’est plutôt par quoi la remplacer, j’ai déjà essayé le stérilet en cuivre et c’était l’hémorragie et l’écoute de son corps c’est plus facile à dire qu’à faire, c’est inquiétant!

    Répondre
    Claire - 29 décembre 2016
    1. Oui moi aussi et je peux te dire que l’investigation à temps plein en ce moment est passionnante ! D’autres livres sont déjà parus sur le sujet mais sont souvent emprunts d’une idéologie, ce livre-là est fait pour que les femmes, toutes les femmes, puissent lui faire confiance. Toute nuance, toute information que je trouve je vous en parle, sans rien vous cacher (notamment pour les méthodes que je teste) donc j’ai également vraiment hâte que vous lisiez tout ça ! 🙂

      Mille mercis pour ton soutien Claire <3

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 30 décembre 2016
  34. Bonjour Sabrina,

    Par le biais de sympto, je prends connaissance de votre prochain livre. Venant de lire deux livres de Martin Winckler, j’étais justement la semaine dernière sur son site, à la recherche d’un éventuel papier où il pourrait donner son avis sur la symptothermie. J’ai hâte de découvrir la préface, et de vous lire.

    Bon courage pour terminer la rédaction.

    Répondre
    Rosa - 29 novembre 2016
    1. Bonjour Rosa et merci beaucoup pour ces encouragements, e que je découvre après à peine quelques semaines d’investigation (à propos notamment des effets de la pilule) sur l’environnement) est assez effarant et j’ai hâte de vous retransmettre tout ça.

      Martin n’est pas du tout anti sympto comme de nombreux médecins et il est très ouvert surtout au fait que les femmes choisissent une contraception qui leur convienne (on pourrait croire qu’il est très “pro-pilule” or il est très conscient de ses effets négatifs sur certaines femmes) mais je crois qu’il se prononce surtout sur ce qu’il connait et maîtrise d’où peut-être le fait qu’il n’ait pas forcément écrit à ce propos.

      A bientôt Rosa.

      Répondre
      Ca Se Saurait - 29 novembre 2016
  35. Bonjour, j’ai 32 ans je n’ai pris la pilule qu’un mois dans ma vie un médecin avait fini par me convaincre. J’ai eu la chance ma mère nous a fait confiance. J’ai découvert la symptothermie moderne il y a 4 ans. La connaissance ouvre une vrais liberté de faire des choix conscient. La connaissance de la physiologie de la femme c’est redonner le pouvoir au femme dans la gestion de leur fertilité.

    Répondre
    capucine vercellotti - 28 novembre 2016
  36. Salut Sabrina 🙂

    j’arrive bientôt à un an d’arrêt de la pilule (et donc un an de port du stérilet). J’en profite pour partager une sorte de bilan.
    Tout d’abord j’ai eu des effets secondaires à l’arrêt de la pilule! Prise de poids (3-4 kg), acné, cheveux gras, sautes d’humeur, règles très abondantes et des douleurs parfois intenables avec vertiges.
    Ces effets se sont atténués au fil des mois.

    Au bout du huitième mois, j’ai commencé à sentir une différente: les douleurs pendant les règles se sont calmées grâce au gattilier. J’ai retrouvé des douleurs “tolérables” comme avant la pilule et je peux à nouveau faire du sport pendant mes règles. Lorsque mes règles arrivent je vois des tisanes d’achillée millefeuille et je mange des avocats (c’est aussi efficace que les médocs contre les crampes pour moi!!). Donc clairement, le fait d’avoir un stérilet me créait ces douleurs et mon corps a fini par s’y habituer.

    Au bout de dix mois j’ai trouvé LE complément alimentaire qui a fait partir mon acné situé sur les joues/mâchoires: le DIM (Di-indolylméthane).
    Côté poids, j’ai réussi à perdre 2 des 4 kg pris, mais j’ai l’impression que ça s’est fait tout seul, je ne change rien à mon alimentation – déjà équilibrée – et j’essaie juste de gérer mon stress. Par contre, j’ai beau avoir juste 2 kg en trop, ça se voit physiquement, je suis “gonflée” d’eau, surtout dans le ventre. Je suis aussi persuadée que DIM m’a aidée à réguler mon humeur. J’avais des crises de larmes sans raison, parfois en milieu de cycle, parfois en période de pleine lune… jamais deux fois durant la même période du mois. C’était très difficile à gérer, et là ça fait deux mois que tout va bien! (je compte faire une cure de DIM sur trois mois puis arrêter)
    Et quant aux cheveux gras, là par contre ça n’a pas changé, je fais deux shampoing par semaine au lieu d’un tous les 5/7 jours quand j’étais sous pilule. Je me dis que c’est leur nature et pour le coup je ne vois pas quoi faire de plus!

    Voilà pour un rapide résumé, je n’ai mentionné que les points négatifs de l’arrêt de la pilule, mais il y a bien sûr eu des très bons points positifs 😉 j’ai la chance d’être hyper bien réglée, tous les vingt-huit jours exactement.

    Donc si jamais tu veux parler de compléments alimentaires dans ton livre, je te conseille le gattilier et le DIM!

    Répondre
    Ambre - 28 novembre 2016
    1. Salut Ambre et mille merci d’avoir pensé à venir nous faire ton retour.
      Avec le recul (pilule arrêtée il y a deux ans et demi + 2 ans de port du stérilet cuivre après retrait en juin dernier), je sais que tous les effets secondaires négatifs que tu as encore un an après étaient personnellement dus chez moi au stérilet. Bas ventre gonflé en permanence, acné et cheveux gras ont disparus ou diminués depuis le retrait du stérilet cuivre. Ce n’est qu’en le retirant que j’ai pu constater cela.

      Je ne dis pas ça pour te déprimer hein mais je pense que devoir prendre des compléments devrait se limiter dans le temps, si dans encore un an tu as toujours besoin de prendre des plantes ou autre pour contrer des douleurs etc. je te conseille de retirer le stérilet et de voir si ça n’était pas lui qui maintenait ces effets (moi aussi quand je le portais je voulais à tout prix que ça fonctionne parce que je ne me voyais pas avec les autres moyens de contraception disponibles, plus contraignants mais force est de constater que nous sommes nombreuses à ne pas supporter NON PLUS le stérilet…) ralalala !

      En tout cas je ne connaissais pas le DIM mais je vais y regarder de plus près merci (ça devrait beaucoup intéresser celles en sevrage) :-).

      Répondre
      Ca Se Saurait - 28 novembre 2016
      1. Salut Sabrina, merci pour ton retour!
        Et ne t’inquiète pas, ce que tu me dis de ton expérience ne me décourage pas du tout! Nous sommes toutes uniques et nous réagissons différemment à la pilule, stérilet… Les désagréments que tu as eu avec le stérilet ne sont probablement pas courant, et pourtant c’est ce que tu as vécu. Personnellement, les effets acné/cheveux gras, je ne considère pas chez moi que ce soit un effet secondaire du stérilet, mais plutôt un “retour” à l’époque du lycée – donc avant pilule. Pour ce qui est du poids/ventre gonflé, je n’en connais pas encore la cause et je reste d’avis de dire que c’est peu probable que ce soit dû au stérilet.
        Comme tu dis, il faut voir avec le temps.
        Je repassera ici lorsque je verrai à nouveau du changement, et au plus tard dans un an 😉
        Merci encore pour le temps que tu passes à répondre à nous toutes!!

        Répondre
        Ambre - 30 novembre 2016
        1. Avec grand plaisir Ambre 🙂

          A +

          Répondre
          Ca Se Saurait - 30 novembre 2016
  37. Bonjour,jai 28 ans et je viens darreter la pillule leeloo que je prenais depuis 2mois et un cachet de la nouvelle plaquette.je nai pas supporter indisposerlimplant,indisposer non stop,plus jeune je ne mettait que des preservatif.apres ma grossesse on ma poser un sterilet au cuivre que je nai pas suporter non plus,toujours beaucoup indisposer.alors mon gyneco ma prescrit leeloo ,faiblement doser car je fume beaucoup.ET la depuis extrement fatiguer,beaucoup de passage a vide,triste sans raison et une angoise avec une impression de palpitations et dessouflement regulier.jai ete voir un medecin qui ma dit que ca navait aucun rapport avec la pillule et que je faisais des crises dangoise et que ma sante et mon coeur vont bien,que tout est dans ma tete.et la apres larret des 7jours de la pillule je me rend compte que sa sarrange.je reprend ma nouvelle plaquette.et la catastrophe tout repart comme avant…impression de palpitations,fatigue…Du coup jarrete direct la pillule.au bout de 3jours ca commence a aller mieux.je suis encore indisposer avec mal au ventre et acne.mais je pense que cest le temps que tout se mette en place.je me demande si on ne sempoisonne pas a petit feu avec la pillule. Je vous tiendrais au courant par la suite…je tenais a partager mon experience car on se sent bien seul face au medecin qui nous certifie que tout va bien alors quon va tout sauf bien.et cela sans raison apparente.jespere que mon temoignage pourra aider…

    Répondre
    Julie - 24 octobre 2016
    1. Salut Julie et merci pour le témoignage qui s’ajoute aux milliers d’autres !
      C’est évident que nous ne sommes pas des cruches incapables de nous comprendre nous-mêmes donc quand on nous dit que c’est dans nos têtes alors que tous les éléments de preuves sont là pour dire le contraire cela s’appelle comme l’explique très bien Martin Winckler de la maltraitance médicale. Ton médecin ne t’écoutes pas. Si cela t’intéresse je t’invite à lire son dernier livre Brutes en blanc qui parle exactement ce cette manière de faire qu’ont encore beaucoup de médecins à ne pas écouter leurs patients. Ils ont été formé à cela et pour de nombreuses raisons continue à croire qu’ils peuvent soigner sans écouter l’esprit de celui qui est au première loges, dans le corps en question. C’est tout bonnement ridicule et tu as bien eu raison de suivre ton instinct 🙂

      Répondre
      Ca Se Saurait - 25 octobre 2016
    2. Je prenais Leeloo aussi et j’avais comme toi de gros symptomes de déprime (d’ailleurs c’est très clair quand tu lis la notice, si mes souvenirs sont bons, c’est une femme sur 10 = beaucoup trop !!)

      Répondre
      jojo - 5 janvier 2017
  38. Bonjour,

    J’ai arrêté la pilule il y a 2 semaines (une microdosée Microval) et avant ça j’avais un implant contraceptif.
    Ça fait donc 4 ans que je subis l’irrégularité de mes règles : pas de règles pendant 3 mois et d’autres fois des règles très abondantes pendant 3 semaines.

    Les différents gynéco que j’ai rencontré m’ont toujours dit que c’est parce que de base j’étais déréglée, je les ai toujours cru.

    Depuis 6 mois, j’ai mes règles 2 semaines par mois, et quand je ne les ai pas j’ai quand même des petits saignements et des odeurs nauséabondes. De plus, je suis ÉPUISÉE constamment.
    Il y a 3 semaines j’ai décidé de voir une autre gynéco, de bonne réputation, parce que je n’en pouvais plus.

    Elle m’a tout de suite dit d’arrêter la pilule, et de mettre un stérilet sans hormones. Je n’avais jamais eu un avis comme ça.

    J’ai donc fini ma plaquette (il me restait 2 semaines) et depuis quelques jours j’ai des poussées d’acné alors que, comme toi, les seuls boutons que j’ai jamais eu sont ceux des moustiques.

    C’est en cherchant “arrêt pilule boutons” que je suis tombée sur ton site, et je viens de passer 1h30 à lire tout tes articles.
    Je me retrouve dans TOUT. Je me suis rendue compte en te lisant que tous les problèmes qui sont apparus depuis 4 ans sont liés à la pilule, mais je n’avais pas fait le lien !!!
    Légère prise de poids localisée + cellulite alors que je suis ultra sportive et que je mange très sain, peau sèche, grosse fatigue de temps en temps comme des minis dépressions, ongles cassants, l’impression d’être hors de mon corps parfois et SURTOUT absence de libido de plus en plus prononcée.
    Sur ce dernier point, je m’inquiétais énormément. J’ai même cherché sur des forums mais rien ne m’amenait à penser à la pilule. J’en étais venue à penser que c’était moi le problème.

    Ça fait seulement 2 semaines d’arrêt mais j’ai déjà beaucoup plus d’énergie, je m’énerve moins pour rien, je ne suis plus du tout ballonnée, pas de constipation, et ma libido commence à revenir…

    DELIVRANCEEEEEE !!!

    Alors merci pour tes articles, qui m’ont tellement fait de bien, j’ai vraiment hâte de lire ton livre.

    Dorcas

    Répondre
    Dorcas Coppin - 7 octobre 2016
    1. Wahou, je suis tellement heureuse Dorcas quand je lis ce genre de commentaire : c’est le cœur de ce que je souhaite faire avec ce blog, mes articles et mon métier : témoigner, être le témoin de choses que je vis dans ma chair pour les retranscrire, en parler, lancer des débats, bref informer tout simplement 🙂
      Bien sûr, tout cela s’observe dès l’arrêt de la pilule et sur le long terme pour savoir ce qui était du à elle et ce qui relève plus parfois de “l’euphorie de l’arrêt” (souvent quand on trouve une solution qu’on commence un nouveau régime alimentaire c’est le même phénomène d’euphorie) donc je pondère quand même ça même si c’est une découverte essentielle dans la vie de beaucoup de femmes : oui la pilule a des effets sur nos corps et par rebond nos esprits et pas qu’un peu !

      Le livre avance, je pense pouvoir le sortir aux environs de mars 2017, j’attends juste une stabilité professionnelle très prochaine qui croisons les doigts devrait arriver !

      Merci à toi d’avoir pris le temps de laisser ce beau message et n’hésite pas à revenir nous dire ce qu’il en est dans quelques temps 🙂

      Répondre
      Ca Se Saurait - 7 octobre 2016
  39. Bonjour,
    Merci pour votre article intéressant. J’ai hâte de lire votre livre.
    Je prends la pilule depuis 10 ans. (Trinordiol) Je souhaiterais l’arrêter prochainement pour certains effets secondaires comme des maux de tête fréquents, une libido assez basse et des boutons qui apparaissent régulièrement.
    Ceci dit le fait d’être allée lire divers et divers avis concernent les effets secondaires liés à l’arrêt m’ont inquiété. Celui qui m’alarme le plus étant la prise de poids. J’ai toujours été de nature assez mince sans efforts même si j’avais dû prendre 2kg au début de ma pilule quand j’avais 16 ans. Ce bouleversement hormonal m’inquiète, je me sentirais capable de gérer les cheveux gras, les boutons, l’humeur etc… Mais la prise de poids je ne le supporterais pas. Ça me donne beaucoup de doute concernant mon choix. Moi qui la prends depuis l’âge de 16 ans et qui ne connaît pas vraiment mon corps sans hormones, comment vais-je réagir ? Ça me fait peur et je n’ai vraiment pas l’impression d’être franchement comprise quand je parle de ça.

    Répondre
    Elisa - 27 septembre 2016
    1. Tu as du poster ton commentaire deux fois, pas grave, pour la première partie de tes questions je te renvie à ma réponse précédente sinon pour le fait d’être incomprise, il y a INTERNET ^^

      Outil magique pour échanger avec les tendances qui montent dans la société et qui sont minoritaires avant de se répandre. Voyons le bon côté, nous sommes les pionnières d’une superbe aventure qui nous reconnecte vachement à nous-même et surtout, nous n’écoutons que nous 🙂

      Tu peux venir trouver ici et sur certains groupes Facebook tout le soutien et l’écoute dont tu as besoin.

      Bises.

      Répondre
      Ca Se Saurait - 28 septembre 2016
  40. Bonjour, articles vraiment intéressant, j’ai hâte de lire le livre. Je suis sous Trinordiol depuis 10 ans (levonorgestrel et ethinylestradiol), je souhaite arrêter prochainement pour plusieurs raisons : petits boutons, maux de tête, libido très basse. On lit de tout sur les forums, on en ressort encore plus inquiètes… Ma plus grande crainte c’est la prise de poids que beaucoup rencontrent. Je suis habituellement assez mince et sans beaucoup d’efforts. Gérer les problèmes de peau, de cheveux gras etc je pense être prête à le faire. Prendre du poids, je sais que je ne le supporterais pas. J’aimerais vraiment reprendre le contrôle de mon corps mais cet effet secondaire me freine énormément. Je suis en plein doute, c’est un effet qu’on peut difficilement prévoir à l’avance.

    Répondre
    Elisa - 26 septembre 2016
    1. Sal ut Elisa,

      Oui je sais c’est dur de prendre cette décision alors ne le fais que quand tu te sentiras prête mais saches que rien ni personne ne pourra te prévenir à l’avance de ce qui va t’arriver. Tout ce que je peux te dire c’est qu’on est des milliers à dire qu’on est mieux sans, la plupart qui arrête en vérité ^^
      Certaines passent un sale quart d’heure comme moi à l’arrêt mais c’est loin d’être la majorité et d’après le nombre de témoignage que j’ai lu à ce sujet, de femmes avec qui j’ai discuté on a plutôt tendance à perdre du poids à l’arrêt qu’à en prendre (mais cela dépend de nombreux facteurs dont le type de pilule). Je vous en parle en détail dans le livre mais ça ne peut avancer vite sous peine de faire quelque chose de bâclé donc tu peux choisir d’attendre quelques mois avant sa sortie pour avoir plus de réponses ou te lancer si tu n’en peux plus ^^

      Au final, tout se passera bien, plein de bonnes ondes et un grosse bise !

      Répondre
      Ca Se Saurait - 28 septembre 2016
      1. Merci beaucoup pour ta réponse ! 🙂
        Je trouve ça vraiment génial d’écrire un livre là-dessus. Prends le temps qu’il faut pour l’écrire, je pense que ça va en en aider plus d’une. Dans pas mal de cas et avant les récents scandales je trouve qu’on a eu vraiment tendance à banaliser le fait de prendre la pilule, de la prescrire à la légère et de ne pas suffisamment bien renseigner les jeunes femmes quant à ses effets. Notamment la modification de la libido, ça paraît être encore trop tabou actuellement pour être mis en avant. On est censées pouvoir vivre notre sexualité plus librement et à contrario le plus souvent on s’éteint.
        Le commencement comme la fin de la prise de la pilule doivent être mieux pris en considération. Un grand merci à toi et au médecin qui participe à l’élaboration du livre. C’est un premier pas pour faire évoluer les choses et pour nous apporter enfin plus de concret.

        Bises

        Répondre
        Elisa - 28 septembre 2016
        1. Avec plaisir et oui, on a sous-estimé beaucoup trop de choses concernant la pilule mais je vois que de plus en plus de femmes s’en indignent et c’est très positif car personne d’autre ne doit nous dicter ce que nous devons faire de nos corps.

          Merci aussi à vous toutes qui me soutenez ici et dont les témoignages me sont précieux pour ce beau livre en pleine gestation 🙂

          Bises.

          Répondre
          Ca Se Saurait - 28 septembre 2016
  41. C’est plutôt pour suivre mon cycle pour ne pas être surprise par les menstruations sans m’en attendre et y enregistrer les symptômes dû à l’arrêt de la pillule! Oui coupé c’est bien vasectomisé et oui je suis québécoise! 🙂 Bonne semaine à toi!

    Répondre
    Lory - 26 septembre 2016
    1. D’accord, bon eh bien merci pour l’expression et salut de l’autre côté de l’Atlantique ^^

      Répondre
      Ca Se Saurait - 28 septembre 2016
  42. J’ai télécharger une application payante, celle qui avait les meilleurs commentaires des femmes qui en ont essayé plusieurs! Pour ce qui est de la contraception, ce n’est pas un problème mon chum est coupé et nous avons eu les résultats comme quoi l’opération était réussi. C’est une des raisons pourquoi j’ai décidé d’arrêter la pillule… à quoi bon prendre ça si mon chum est coupé! 🙂 Merci de t’en soucier!

    Répondre
    Lory - 25 septembre 2016
    1. D’accord mais une application de quoi exactement ? (symptothermie ?)
      Tu es québécoise non parce que “coupé” j’imagine que ça veut dire vasectomisé ^^ ?
      Bon ben effectivement dans ce genre de cas, plus trop besoin de se prendre la tête 🙂

      Répondre
      Ca Se Saurait - 25 septembre 2016
  43. Allo ! Très interessant ton article ! Je prenais Yasmine depuis l’âge de 14 ans et là à 26 ans je décide que c’est assez, mais mon gynéco ma recommandé de continuer…. Je ne l’ai pas écouté ! Je termine mon premier mois sans pillule et ouf !!! Mes émotions et les sautes d’humeurs sont au rendez-vous !!!! D’autre petits symptômes mais les plus importants sont reliés à l’humeur pour l’instant…. Ton livre sort quelle date ?!?!
    Merci !

    Répondre
    Lory - 20 septembre 2016
    1. Salut Lory, le livre est en pleine écriture (et se nourrit d’ailleurs de vos témoignages)
      Je suis dans une période professionnelle intense en ce moment à Radio France donc ça n’avance pas comme je veux mais je prévois une sortie premier trimestre 2017 (je ne veux plus trop donner de date car cela fait des fausses joies quand je ne peux les tenir).

      Merci de ton intérêt en tout cas et n’hésites pas à échanger avec moi par mail privé si tu as d’autres questions 🙂

      Répondre
      Ca Se Saurait - 21 septembre 2016
      1. Merci c’est gentil!

        Pour m’aider à me situer dans mes cycles, vu que je n’aurai plus le petit boitier de la pillule, je me suis téléchargé une application assez sympa! Vive la technologie 😉

        Répondre
        Lory - 23 septembre 2016
        1. Yes, oui tu as téléchargé l’appli sympto ? (parce qu’il semblerait que ce soit la seule fiable si tu veux vraiment utiliser ce moyen comme contraceptif ^^)

          Bises.

          Répondre
          Ca Se Saurait - 23 septembre 2016
    2. Je suis dans la même situation que toi ! Jai tenté le coup à 3 reprises, mais j’ai pas tenu ! Je vais essayer le sevrage progressif la prochaine fois ! Est ce que ça pourrait éviter ces symptômes, je l’espère !

      Répondre
      Anne - 15 avril 2017
  44. Bonjour et merci pour ce superbe blog pour l’acné après pilule
    Maud

    Répondre
    rousset - 24 août 2016
    1. Avec plaisir 🙂

      Bientôt le livre ! (cf. J’arrête la pilule

      Répondre
      Ca Se Saurait - 24 août 2016
  45. Bonjour Sabrina,
    Ce livre n’est pas encore paru si je ne me trompe?

    Répondre
    Sophie - 12 juillet 2016
    1. Salt Sophie,

      Non, non, à la rentrée ou cet hiver comme indiqué au dessus de la photo 🙂

      Répondre
      Ca Se Saurait - 12 juillet 2016
      1. Pourquoi tant d’attente ? ça fait presque 1 ans je surveille mais rien …

        Répondre
        vivet - 6 avril 2017
        1. Bonjour Stephanie,

          Eh bien le livre doit s’écrire, des investigations sont menées, je suis dessus depuis l’an dernier et j’achève l’écriture en juin et la sortie ensuite se fait cet hiver (des gens doivent travailler sur la couverture, la mise en page, etc.). Il est écrit depuis décembre sur cette page que le livre sortira à l’hiver 2017. On ne sort pas un tel livre en se pressant, c’est plus d’un an d’investigations et six mois d’écriture.
          Donc tout va bien, ça arrive.
          Merci d’être aussi impatiente, tu ne seras pas déçue 🙂

          Répondre
          Sabrina Debusquat - 6 avril 2017
  46. Hâte de le découvrir.
    Quant à l’ “envie de retour au naturel, choix écologique”… la question est légitime : quel choix après la pilule? Une option peut être tout simplement les méthodes mécaniques non invasives, mais aussi les méthodes naturelles! qui consistent à observer ses périodes de fertilité et sont finalement bien plus qu’une contraception puisqu’elles sont basées sur une attention particulière à son corps et son intimité. A découvrir avant de se faire son opinion… certaines ont succombé à leur charme!

    Répondre
    Cycle Naturel - 1 juin 2016