Pour vos crèmes de beauté, les petits pots du dernier, la lessive ou votre gel douche : difficile parfois de prendre le temps de décrypter toutes les étiquettes.
Avec le temps ça viendra mais je comprends qu’un soir d’affluence en grand surface avec un caddie d’une semaine pour une famille vous ayez du mal à être attentif à tout.
Alors pour vous, qui n’êtes pas un pro des étiquettes ou qui n’avez pas le temps, un site Internet et une appli vous aident à faire ce travail…
Ce site s’appelle Noteo. Il vous accompagne en vous disant si tel produit est bon ou pas et selon quels aspects (santé, environnement, social et budget).
Noteo vous donne pour des milliers de produits de beauté, d’entretien et d’alimentation une note globale du produit et des notes sur les quatre critères suivants :
La note est sur 10, 10 c’est le meilleur produit de sa catégorie.
Plus la couleur tire sur le rouge, moins “bon” est le produit. Vert c’est que c’est bien.
Noteo, un site fiable ?
Comme vous le savez, ici on ne se contente pas de dire c’est bien, j’analyse en détail si c’est bien ou pas. Si vous avez la flemme, vous n’êtes pas obligé de lire ce qui est mis en citation vous pouvez juste lire mes commentaires.
Donc, pour ce qui est des quatre notes “Santé”, “Environnement”, “Social” et “Budget” qui constituent la note globale : elles sont traitées en détail selon les critères suivants :
“Santé
ANALYSE NUTRITIONNELLE
L’Institut Noteo procède à l’analyse des valeurs nutritionnelles et prend en compte l’ensemble de ces éléments, en fonction des AJR, et en s’appuyant sur le rapport « SAIN LIM », une méthodologie officielle élaborée par l’INRA et l’INSERM.
En cas d’information(s) nutritionnelle(s) non publiée(s) par le fabricant, Noteo utilise la base de données européenne de référence sur la nutrition (CIQUAL), en attribuant un malus.
En complément de l’analyse SAIN LIM, l’Institut Noteo analyse l’adéquation entre les apports en Omega-6 et Omega-3.
ANALYSE TOXICOLOGIQUE DES INGRÉDIENTS
L’Institut Noteo a passé au crible des milliers de substances pour effectuer une qualification des risques :
- sur 14 pathologies et risques sanitaires : cancérigène, mutagène, allergène, perturbateur endocrinien, contaminants, … ;
- en fonction du niveau de preuve scientifique : suspectée, avérée, ou controversée ;
- et à partir de sources fiables et validées scientifiquement : Union Européenne, Centre International pour la Recherche Contre le Cancer, International Chemical Secretariat, …
PRÉSENCE PROBABLE DE CONTAMINANTS
[…] Cette contamination peut s’opérer par 3 sources : les emballages (Bisphénol A, …), les pesticides, et les polluants environnementaux (PCB, dioxines …). Sur la base de bibliographies scientifiques et d’études officielles (ANSES, etc.) concernant ces facteurs de risques, l’Institut Noteo évalue ces différents niveaux d’exposition en fonction des caractéristiques (labels, emballages) et de la composition du produit.
TRANSPARENCE SUR LA COMPOSITION, ET PRÉSENCE DE LABELS
Les fabricants de détergents ne sont pas toujours transparents sur la composition de leurs produits, malgré la réglementation. Noteo pénalise les produits pour lesquels cette information essentielle n’est pas disponible, ou de manière encore incomplète.
Par ailleurs, l’Institut Noteo a également examiné les cahiers des charges des principaux labels (Ecolabel Européen, etc) sur la santé, pour les classer selon leurs exigences concernant la restriction d’utilisation de certaines substances ou la toxicité finale du produit.
Alors c’est très bien même si les référentiels de l’INRA et de l’INSERM sont parfois à prendre avec des pincettes. Par exemple dans cette classification “SAIN LIM” : Voici le référentiel des aliments :
“- fort SAIN et faible LIM
Les aliments classés dans cette catégorie sont recommandés pour la santé. On y retrouve les fruits et légumes, les yaourts et fromage frais nature, les légumineuses, la pomme de terre, les viandes maigres et les poissons, les abats, les œufs et le pain complet.
– faible SAIN et faible LIM
Cette classe concerne les aliments neutres pour la santé. On peut citer les féculents raffinés (pain blanc, pâtes et riz blanc) et les fruits secs.– fort SAIN et fort LIM
Il s’agit d’une catégorie d’aliments intermédiaire tels les poissons fumés et/ou salés, le jambon, les viandes rouges et certains fromages, à recommander en petite quantité ou occasionnellement.– faible SAIN et fort LIM
Catégorie d’aliments à limiter, on y retrouve la grande majorité des charcuteries, les gâteaux et sucreries, les fromages gras et salés, toutes les matières grasses et les sauces.”
En l’occurrence le pain blanc (raffiné) sont considérés comme “neutres”, une chose avec laquelle beaucoup de professionnels de santé et de consommateurs ne sont pas d’accord (à cause du gluten et des calories vides apportés par ces aliments souvent très pauvres nutritionnellement parlant).
De même, “toutes les matières grasses sont considérées comme “à limiter” et encore une fois en nutrition c’est tout à fait réfutable car les matières grasses sont essentielles à une nutrition saine et ne sont absolument pas à limiter si elles sont végétales (même les animales d’ailleurs ne sont pas à diaboliser mais bon ce sera le sujet d’un autre article). Donc ce premier indicateur est selon moi “semi-fiable”
On continue avec le second critère pris en compte :
Environnement
La note « environnement » correspond aux impacts potentiels du produit sur plusieurs aspects environnementaux, à différentes étapes de son cycle de vie.
INDICATEURS DE L’ANALYSE EN CYCLE DE VIE (ACV)
L’ACV est une méthode d’évaluation environnementale qui permet de quantifier les impacts d’un produit sur l’ensemble de son cycle de vie, depuis la production des matières premières qui le composent jusqu’à son élimination en fin de vie, en passant par les phases de distribution et d’utilisation. […]
Pour établir ses procédés d’analyse, l’Institut Noteo s’appuie sur les travaux et les référentiels de la Plateforme ADEME-AFNOR sur l’Affichage Environnemental des produits de grande consommation, travaux toujours en cours et auxquels nous contribuons depuis 2008, et qui devraient déboucher d’ici quelques années sur une réglementation.
Grace à ces méthodologies d’Analyse en Cycle de Vie, les experts de l’Institut Noteo déterminent les impacts des produits, à partir de 4 000 profils types et de données issues de sources de référence (ADEME, EcoInvent, LCA Food, USETox…), sur les indicateurs suivants :
- Changement climatique : évalue la contribution du produit en matière d’émissions de gaz à effet de serre, en g. équivalent CO2
- Consommation d’eau : estime la quantité d’eau nécessaire à la production des matières premières du produit, sur la méthodologie Water Footprint.
- Ressources naturelles : mesure la consommation de ressources épuisables telles que le pétrole, les minerais…
- Eutrophisation : mesure les rejets de substances azotées, ayant pour conséquence la prolifération d’algues.
- Acidification terrestre : mesure les émissions de gaz soufrés, en equivalent SO2, à l’origine des pluies acides qui vont se concentrer dans le sol.
- Ecotoxicité : mesure le potentiel toxique lié aux rejets de produits chimiques (substances, engrais, pesticides) dans les milieux aquatiques ou terrestres, en CTUe.
IMPACT SUR LES MILIEUX NATURELS (ECOSYSTÈMES ET BIODIVERSITÉ)
Afin de compléter les indicateurs ACV, uniquement basés sur des flux, les experts de l’Institut Noteo ont développé une analyse sur les différents enjeux concernant la faune, la flore, et les ecosystèmes :
- Ecosystèmes terrestres (pour l’alimentation) : détermine la probabilité de recours aux OGM, dont l’impact sur la biodiversité est désormais établi ; et mesure l’emprise au sol des cultures pour la production des ingrédients du produit, en m2 / kg. Cette empreinte peut varier considérablement, or il s’agit de la première cause de déforestation à l’échelle mondiale (huile de palme en Indonésie, soja en Amazonie…).
- Ecosystèmes aquatiques (pour l’alimentation) : évalue la dégradation des fonds marins et la diminution des stocks halieutiques, selon les espèces de poissons ou de crustacés présents dans le produit, à partir des études du WWF et de l’AREHN.
- Ecosystèmes aquatiques (pour hygiène-beauté et produits d’entretien) : évalue les conséquences de la dispersion des substances à risque sur la faune aquatique (perturbation du système endocrinien, bioaccumulation des substances, toxicité chronique et aiguë à moyen et long terme, dégradation des substances dans le milieu aquatique…), à partir des classifications européennes officielles.
- Efforts de l’entreprise en matière de politique environnementale lors de la fabrication du produit : la méthodologie de l’Institut Noteo évalue, en complément de l’approche produit, les engagements des entreprises en matière de politique environnementale lorsque les données sont fiables et disponibles.
LABELS
L’Institut Noteo a examiné les cahiers des charges des principaux labels :
- Ecolabels (Ecolabel Européen, NF Environnement, …)
- Agriculture biologique (AB, Demeter, …)
Ceci a permis de les classer selon leurs niveaux d’exigences, sur chaque indicateur environnemental et pour chaque catégorie de produit. […]
RESPONSABILITÉ DE L’ENTREPRISE
Lorsque les informations sont fiables et disponibles, la méthodologie de l’Institut Noteo intègre, en complément de l’approche produit, les engagements et les performances des entreprises en matière de responsabilité environnementale : pollution, gestion des déchets, etc. (voir le paragraphe suivant pour plus d’information sur l’analyse des entreprises)
Pour cette partie environnement je trouve cela très bien fait et pour le coup assez poussé donc rien à redire.
Troisième critère pris en compte :
Social
La note « social » repose sur une double analyse, au niveau de l’entreprise et au niveau du produit :
AU NIVEAU DE L’ENTREPRISE,
L’Institut Noteo s’appuie sur les analyses de son partenaire Inrate, une agence de notation extra-financière indépendante, créée il y a plus de 20 ans.
La notation sociale de l’entreprise repose sur 85 indicateurs thématiques, analysant les engagements, les controverses et les performances de l’entreprise, de manière actualisée.
Elle se traduit en deux grands indicateurs : la Gouvernance et les Droits des Travailleurs, regroupant chacun des dizaines d’indicateurs (santé et sécurité des employés, droits fondamentaux, travail des enfants ou forcé, corruption, plans sociaux, dialogue social, …).
Les analyses d’Inrate couvrent uniquement les entreprises cotées sur les marchés boursiers : tous les produits présents sur Noteo ne disposent pas d’une notation sociale, faute d’informations suffisantes et fiables sur l’intégralité des entreprises.
AU NIVEAU DU PRODUIT,
La méthodologie développée par l’Institut Noteo intègre également une analyse des impacts ou des garanties au niveau du produit, via :
-
La prise en compte des différents labels du commerce équitable, selon leur valeur ajoutée spécifique sur les différents indicateurs
-
Les risques d’exposition des travailleurs liés aux ingrédients ou aux intrants chimiques (pesticides)
-
Les problématiques de sécurité et de souveraineté alimentaires des populations, en fonction de l’utilisation des sols et des ressources
-
Les facteurs de dépendance économique des acteurs
-
Les impacts sociaux des dégradations et des menaces environnementales
Là aussi, il me semble que ce soit très poussé et c’est d’ailleurs une des info les plus difficile en tant que consommateur à obtenir donc super.
Enfin dernier critère de notation, l’argent bien sûr, le budget !
Budget
La note « budget » estime le coût réel du produit, par rapport aux autres produits de sa famille, ramené à la même unité commune pour la comparaison.
Elle est calculée différemment selon les catégories de produits :
- Hygiène et beauté : prix ramené au litre
- Produits d’entretien : prix ramené au litre, ou au nombre de lavages (pour les lessives et produits lave-vaisselle).
- Alimentation : prix au kilogramme de produit réellement consommé. Prend en compte la proportion du produit réellement comestible (ex : viande sans les os) ainsi que la transformation lors de la préparation (ex: gain ou perte de poids après cuisson)
- Boissons : prix au litre de produit réellement consommé. Prend en compte la transformation lors de la préparation (ex: dilution à l’eau…)
Là également rien à redire, cela me semble juste comme système de notation.
Pour conclure, Noteo me semble un très bon site de référence pour savoir ce que valent vraiment les produits que vous achetez, je dirais simplement si vous avez des connaissances nutritionnelles poussées que vous ne serez parfois pas d’accord avec la note “nutrition”. De même si vous avez des connaissances poussées sur la composition des produits cosmétiques.
Je vous donne un exemple. J’ai regardé un de mes produits “la crème au souci Dr. Theiss” sur le site et Noteo donne une note de 6,6 pour la santé (11 substances à risque sur 28)
Or quand je regarde la compo (et je l’ai choisi pour ça cette crème), je ne vois AUCUN ingrédient “à risque” mais quelques ingrédients potentiellement allergènes qui servent de conservateurs naturels comme le linalool, le geraniol, le citral, le citronellol et le limonene.
Si l’on prend le linalol par exemple, il s’agit d’un composé aromatique, présent à l’état naturel dans les huiles essentielles de lavande et lavandin, de pin sylvestre ou de menthe poivrée ou encore dans nombre d’extraits végétaux, récemment l’Europe (suite à une étude suédoise) à a décidé de classer ce composant comme “molécule allergène”
Or comme le détaille le très bon site La Vérité sur les Cosmétiques (tenu par une journaliste allemande spécialisée depuis 20 ans en cosmétique) dans “Les mises en garde sont-elles justifiées? Celle contre le linalol, par exemple.” cette étude n’est pas fiable pour plusieurs raisons :
” 1 – Les résultats sont présentés d’une manière extrêmement succinte, et par conséquent incorrecte.
2 – Les résultats des études sont transposés dans des contextes inadéquats. Les comptes rendus des résultats de l’étude suédoise étaient souvent complétés par l’indication: le linalol est un composant de presque toutes les huiles essentielles. Et c’est exact, on trouve le linalol dans l’huile de lavande, dans l’extrait d’orange et dans de nombreux autres ingrédients naturels.
L’étude suédoise ne portait, cependant, ni sur l’huile de lavande, ni sur les extraits de plantes. Elle ne portait même pas sur le linalol lui-même, mais sur les conséquences de la réaction du linalol avec l’oxygène. L’étude sur le linalol de l’université de Göteborg (Suède) illustre de manière exemplaire comment les résultats d’études scientifiques sont incorrectement présentés, du fait de comptes rendus trop succints.“
“L’étude ne dit rien du tout sur le linalol en tant que composant de substances naturelles comme l’huile de lavande, ou les extraits d’orange ou de myrrhe, ni sur l’emploi de telles substances naturelles dans les crèmes et autres produits cosmétiques.[…]
Des études le montrent: les huiles essentielles sont mieux supportéesLes mises en garde concernant les risques d’allergies font souvent naître des idées fausses. Aurait-on l’idée, par exemple, de ne plus manger de noisettes sous prétexte qu’une voisine y aurait réagi allergiquement?
Il faut savoir que les réactions à l’une des substances mentionnées ci-dessus sont des réactions individuelles. Donc les personnes n’ayant pas de problème avec le thym, le romarin, la cannelle ou l’huile de citron, ne deviendront pas allergiques à ces substances à leur simple contact.Et puis “Il y a géraniol et géraniol.
Lors d’une appréciation des risques d’allergies, il faut aussi tenir compte du fait que la même dénomination INCI peut être utilisée pour des substances différentes.La déclaration INCI ne permet pas de savoir si un fabricant de cosmétiques a utilisé une substance synthétique, une huile essentielle naturelle ou un composant isolé de cette dernière puisque les premières ont la même dénomination INCI que les secondes.
Ainsi, dans de nombreux produits cosmétiques, on trouve le géraniol sur la liste INCI des ingrédients. Mais il y a géraniol et géraniol. La différence peut s’avérer décisive pour les personnes allergiques car il y a des indications claires et nettes prouvant qu’on ne peut juger de la même façon les huiles naturelles et les substances de synthèse.
Le BDIH (l’interprofession allemande) a commandité une étude sur le géraniol. En partant d’un échantillon de 50 personnes ayant réagi positivement lors d’un test d’allergie au géraniol, on a étudié comment ces mêmes personnes réagissaient aux huiles essentielles contenant du géraniol.
10 de ces 50 personnes (20 %, donc) ont eu une réaction à la substance odorante géraniol isolée chimiquement.
Aucune des 50 personnes n’a réagi aux huiles essentielles contenant du géraniol.”
Ma conclusion sur la fiabilité de Noteo :
En un mot comme en cent il faut se méfier des études mais malheureusement pour être considéré comme un site “sérieux” Noteo est obligé de se référer aux référentiels (qui ont le mérite d’exister même s’ils sont imparfaits. Alors que comme je viens de vous le démontrer ci-dessus, pour une substance le référentiel peut s’avérer faux.
Vous pouvez donc vous servir de Noteo au quotidien si vous n’êtes pas encore très averti en matière de décryptage des étiquettes ou que vous n’avez pas le temps. Cela reste un outil intéressant pour visualiser en un coup d’œil les très mauvais produits (en rouge) et les éviter.
Pour le reste, les experts ou ceux qui pensent “en marge” des référentiels officiels l’utiliseront en connaissance de cause …
Bonjour Sabrina. Oui, reportage intéressant. Je le conseille. Bonne journée.
Agnès
Bonjour Sabrina,
Sur le thème des compositions, bon reportage dimanche dernier 13 avril sur la 5 vers 20h30 sur le gel douche. A revoir sur Pluzz ou sur Freebox replay (si le FAO est “free”).
Agnès
Oui Agnès merci de le mentionner, je ne l’ai pas encore regardé, il était bien ?
Bonjour Sabrina, merci beaucoup pour cette adresse que je ne connaissais pas, bien qu’adepte d’autres applications. J’en ferais bon usage 🙂 …
Avec plaisir Polina 🙂
Il sont quand même plutôt pas mal ^^ (même si je ne peux comparer puisque je n’en utilise pas d’autres hormis la très bonne appli qui me suit depuis 26 ans : l’application “Mon cerveau” !
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Eh bien ça a l’air beaucoup plus complet que l’appli que j’utilise (m’enfin forcément puisque ce n’est “qu’une” appli). Il s’agit de Shopwise et je m’en sers principalement pour les produits alimentaires (pratique pour repérer les ogm)
Ha, je ne connaissais pas 🙂
Faut dire que si t’achètes que des produits bruts frais et ou locaux/bio, pas besoin !
Bonjour Sabrina
Merci pour cet article, je ne connaissais pas ce site et je vais aller y faire un tour. Comme tu le dis, il peut effectivement donner un avis rapidement et éviter d’acheter une “cochonnerie”. Mais comme dans tout, rien ne vaut notre propre analyse, avec nos propres critères. Bonne journée.
Bonsoir Agnès, oui c’est exactement ça, ça évite d’acheter totalement n’importe quoi mais c’est plutôt pas mal si on ne s’y connait pas. Pour les connaisseurs ça n’aidera pas grandement 🙂
Mais je trouve ça très bien que cela existe.