Ceci ne sera pas un énième article sur le sujet mais plutôt un début de réflexion pour apprendre à réagir concrètement, sans se bouffer la vie et les nerfs. Comment réagir au mieux, pour nous, face au comportement des hommes dans la rue ? Comment faire face à une réalité qui ne va pas changer en un claquement de doigt sans se mettre en danger mais sans s’écraser non plus ?
Je voudrais juste aujourd’hui décomplexer toutes celles et ceux qui se croiraient “superficiels” parce qu’ils se préoccupent de leur physique. Certes, selon les cultures les canons de beauté varient mais finalement ils restent assez proches. Je pense qu’il y a une raison bien précise à cela.
Je sais que dans cette société, dans ce monde matériel, le physique compte. Je sais aussi mesdames que des millénaires de culture nous poussent à considérer notre physique comme notre principale qualité. Mais j’en ai marre de croiser des femmes qui jalousent les autres, les rabaissent, les insultent parce qu’elles se sentent “moins belles”. La “belle ” n’a forcément que son physique pour elle et vous vous êtes bien plus intelligente et spirituellement élevée. Forcément.
Voici une petite pépite d’humour et d’intelligence de Sonia Feertchak : “Les femmes s’emmerdent au lit“. Sous le titre accrocheur, qui pourrait paraître racoleur, se trouve un livre intelligent, extrêmement drôle et décomplexé qui traite d’un sujet qui va toutes vous parler et que pourtant l’on évoque si peu ou si mal…
Je ne sais pas vous mais moi j’en ai plus que ras-le-bol que ce qui constitue la majeure partie de l’information médiatique soit relié au politique. Homme politique en campagne, président, ministres et consorts. Batailles internes dans les partis, déplacements hypocrites parsemés de faux sourires et d’intérêt feint porté aux “petits”, valeurs montantes: on s’en fout !
Que l’homme adapte son environnement pour son confort, sa survie soit. Mais qu’il le transforme en un cocon totalement artificiel où tout est faussé, exagéré, chimique y’a des limites. Et là ma limite est atteinte.
“Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale d’être bien adapté à une société malade.” Jiddu Krishnamurti, penseur indien
Parce que je ne cache pas mon métier, j’ai été plusieurs fois prise à partie sur les réseaux sociaux en tant que “représentante” du journalisme. Entre ceux qui croient sincèrement que l’on a presque un téléphone rouge dans le bureau relié directement aux ordres de François Hollande et ceux qui croient que nous sommes tous forcément des “vendus”, beaucoup de fantasmes entourent les professionnels de l’information. Pourtant la réalité est peut-être bien plus simple que vous ne l’imaginez.