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Ca se saurait - Grandes questions et petites astuces Ca se saurait - Grandes questions et petites astuces
Grandes questions et petites astuces
27 février 2019

Nos petits gestes écolos ne sauveront pas la planète

Prendre des douches courtes, trier ses cartons, favoriser le vélo et le bio… Tous ces gestes écolos du quotidien sont nécessaires mais absolument insuffisants face aux crises écologiques qui menacent la planète.

Effondrement collapsologie deep green resistance

Une idée qui déprime bon nombre d’entre nous…

Je vais vous demander de regarder une courte vidéo qui aborde ce sujet qui m’est cher puis de me dire ce que vous en pensez en commentaire.

Petits gestes écolos VS besoin d’un changement global :

Cette vidéo aborde précisément des questions que nous sommes nombreux à nous poser. Moi qui mange bio, fuis les produits synthétiques et limite mon bilan carbone je vois bien que mes gestes ont peu d’impact s’ils ne s’inscrivent pas dans un mouvement global. Je ne sais pas trop quoi penser de cette fameuse fable du colibri qui dit que si chacun fait sa petite part ça peut aller mieux, c’est bien beau mais à mon sens peu réaliste.

Certes, j’ai ma conscience pour moi. Certes, via mon comportement je peux inciter d’autres à faire pareil. Mais face à l’urgence climatique/écologique, etc. cela ne suffit pas. Quand bien même nous serions tous zéro déchets (ce qui est déjà loin d’être le cas), bio et compagnie, ce ne sont pas les particuliers qui polluent et consomment le plus.

Les pollutions sont majoritairement dues à notre modèle agricole boosté aux pesticides, à notre industrie et plus globalement  à notre société de consommation qui pousse à exploiter toujours plus les ressources naturelles. C’est donc tout un système à réformer or les résistances sont immenses.

agriculture pesticides pollution

Les pollutions sont majoritairement dues à notre modèle agricole boosté aux pesticides, à notre industrie et à notre société de consommation qui pousse à exploiter toujours plus les ressources naturelles sans penser aux conséquences. Tout ceci est lié à des décisions politiques et financières qui se prennent loin de nous, souvent sous influence et avec pour unique but l’argent et la croissance. C’est donc tout un système à réformer. Or les résistances sont immenses.

Je ne crois pas que ce système se réformera de lui-même. Je ne crois pas que de gentilles manifestations, pétitions ou même des assignations en justice comme l’Affaire du Siècle changeront quoi que ce soit.

Va-t-il falloir un effondrement global pour que certains comprennent ce qui se joue là ?

Plutôt qu’un long discours, je vous laisse regarder cette courte vidéo de Derrick Jensen, écrivain américain qui prône une écologie radicale et politique : la Deep Green Resistance.

Alors, comment faire pour aller au-delà des petits gestes du quotidien et créer un mouvement plus global qui apporte de réelles solutions collectives ? Va-t-il falloir un effondrement pour que la plupart comprennent ce qui se joue là ?

Je me dis souvent que si tout le monde changeait d’un coup le système serait bien obligé de se réformer (puisque s’il n’y aurait plus personne pour consommer non bio ou acheter des produits fabriqués par des industries polluantes). Mais beaucoup (notamment les plus précaires) ne peuvent se payer le luxe d’acheter bio, local et d’opter pour des vêtements éthiques à 50 € le t-shirt… Même les écolos ont tous des PC et téléphones portables qui contiennent des minerais rares… Sans parler de tous ceux qui s’en fichent ou ne croient pas à l’écologie, aux pollutions voire à un potentiel effondrement…

destruction planète homme

 

Et vous, comment gérez-vous toutes ces interrogations ?
Que faites-vous au-delà des “petits gestes écolos du quotidien” ?

J’attends vos propositions en commentaire !

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Sabrina Debusquat

Journaliste santé à Alternative Santé et Plantes & Santé, membre de l'Association des Journalistes Scientifiques de la Presse d'Information.

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Comments (9)

  1. Merci pour cette vidéo que j’ai enfin pris le temps de voir.
    Difficile de donner une réponse vraiment complète mais je me dis que l important est la prise de conscience et accepter de diminuer son niveau de confort.
    L’auteur de la vidéo semble présenter l activisme comme une solution simple mais il ne mentionne pas tous les activistes qui se font tuer au cours de leur lutte (cf par exemple Macarena Valdes, une mère de famille qui s’est fait tuer parce qu’elle luttait contre un mega barrage et dont on a fait passer l assassinat pour un suicide – et c’est loin d’être un cas unique en Amérique du Sud).
    Si les gens décident de ne pas acheter bio, j’ai du mal à croire qu’ils décident de devenir activistes.
    Donc pour moi la solution c’est d’essayer de sensibiliser un maximum pour que les gens modifient leur consommation et comprennent que moins de confort à court terme permettra de créer une qualité de vie pour les générations futures.
    Et si tout le monde modifie sa consommation, alors l industrie devrait bien finir par s effondrer.
    C’est un travail de longue haleine. Et il ne faudrait surtout pas que le colibris se repose sur ses lauriers sous prétexte qu’il achète bio et recycle – pour moi c’est une des “dérives ” de cette fable: se contenter de quelques gestes demandant peu d efforts pour avoir bonne conscience et se limiter à ca, comme l explique bien l’exemple que tu donnes en commentaire.

    Répondre
    Delphine - 27 mars 2019
    1. Hello Delphine,

      Oui, je suis d’accord avec toi, je ne peux m’epêcher de me dire que si toout le monde arrête d’acheter “pas éthique” ça va forcément changer (l’effet de masse). Tu résumes très bien le truc avec ta dernière phrase !

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 29 mars 2019
  2. NB : dans sa dzernière newsletter, la féministe et journaliste Titiou Lecoq a précisément une réflexion vis-à-vis de ce sujet, elle écrit :

    ” Jamais je ne me dirais: «Bah ça ne sert à rien, si les autres parents ne font pas pareil, pourquoi je m’emmerderais à lutter contre des moulins à vent? C’est tout le système qu’il faut changer.» On voit tout de suite que ça n’a pas de sens. De même, je ne vais pas laisser passer des remarques racistes sous prétexte que l’on vit dans une société raciste et que c’est une goutte d’eau dans l’océan de la dégueulasserie humaine. Eh bien je vis ces gestes écolos un peu de la même manière. C’est une question de cohérence envers moi-même (enfin… niveau cohérence, on n’y est pas du tout. Je suis à peu près à trois millions de kilomètres d’une vraie cohérence, mais au moins, j’essaie. Comme le dit Julie, la créatrice du blog Banana Pancakes, «chaque geste ne vaut que si on est conscient du chemin qui reste à parcourir»).

    Or cette cohérence m’apporte une sérénité de l’esprit dont j’avais besoin. Pas une bonne conscience du style «c’est bon, j’ai fait ma part, démerdez-vous avec le reste du bordel, j’ai un poireau à finir», non, l’inverse: constater simplement qu’il est possible à une échelle individuelle de modifier une partie de ses habitudes de vie et de (sur)consommation laisse entrevoir qu’à une échelle collective, un autre mode de vie est possible. Quand j’étais jeune militante, la grande question pour aller sensibiliser aux causes d’extrême gauche, c’était: «Penses-tu que le capitalisme est un horizon dépassable?» Là, je constate dans ma cuisine que cet horizon, le monde tel qu’on nous le donne et qu’on nous explique qu’il est impossible à modifier, est modifiable.

    On va être clair: si je peux avaler des légumes et faire moi-même des yaourts, alors la révolution écologique féministe est possible.”

    Extrait de “Je suis devenue «la fille aux yaourts», et j’en suis fière”

    A méditer également 🙂

    Répondre
    Sabrina Debusquat - 15 mars 2019
  3. Malheureusement, j’ai l’impression que les carottes sont cuites ! Je suis enragée de voir les grands de ce monde débattre d’un enjeu aussi capital comme si on avait encore le choix d’agir ou non ! Tous les voyants sont au rouge, et même si tu as raison que nos petits gestes ne suffiront pas, je pense qu’en sensibilisant les gens dans leur quotidien, nous forgerons les activistes de demain. Super article !

    Répondre
    Soa - 28 février 2019
    1. Merci Soa, je m’intéresse également aux thématiques de l’effondrement et à la collapsologie depuis plusieurs années et je crois comme toi que tout ce que je fais aujourd’hui consiste surtout à préparer l’avenir, un avenir autonome pour les générations futures qui ne pourront pas forcément bénéficier du confort moderne, pétrole, etc.

      Mon prochain livre sur lequel je travaille consistera par exemple à se demander comment les droits des femmes peuvent rester au niveau actuel en cas d’effondrement (et y’a du boulot) : accouchement, menstruations, contraception, viols, violence, patriarcat : comment fait-on pour préserver une société féministe en société effondrée ? Vaste mais passionnante question avec témoignages et solutions à l’appui.

      Cela ne m’empêche pas de vouloir avoir des enfants à titre personnel mais je comprends vraiment ceux qui se posent la question. D’ailleurs j’entendais encore hier à la radio un penseur dire que c’était quand même bien dramatique pour notre génération d’être si déprimée si jeune et de se poser des questions de ce genre, d’être comme dépossédés de nos vies car nous les vivons en période de déclin et que nous n’avons ni les avantages de l’ancien monde ni ceux du nouveau qui se prépare… Je crois au contraire que les périodes de transition comme celle que nous vivons ou de fin de cycle sont l’occasion d’impulser de belles choses, de créer. Qu’en penses-tu ?

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 28 février 2019
  4. Ce ne sont pas 2 choses opposées car les petits gestes du quotidien ont aussi un impact sur les industries, même si il n’est pas suffisant si on est pas assez nombreux à les faire :
    – si on est nombreux à privilégier le local, il y aura moins besoin de camions et d’avions pour transporter des denrées alimentaires qui viennent de loin,
    – si on privilégie une agriculture paysanne durable, on diminue les ventes de pesticides et engrais chimiques de l’industrie chimique,
    – si on étend l’influence de la mode éthique et de la 2de main, on diminue la demande de fast fashion,
    – si on boycotte amazon, on évite les supermarchés, on prend moins l’avion, on baisse le chauffage, etc etc etc

    Mais bon, je suis consciente qu’actuellement on ne réduit que peu la demande car on est encore peu à agir.

    Répondre
    Anne - 27 février 2019
    1. Oui mais c’est déprimant de se dire que cela ne suffira certainement pas, tu ne trouves pas ? Se taper un effondrement global d’ici 2030/2050 et se dire que nos enfants héritent de ça…pfff…

      Répondre
      Sabrina Debusquat - 28 février 2019
      1. Je vous ai lu avec intérêt et cette vidéo me “parle” beaucoup. Nous n’avons qu’un seul enfant, et ne souhaitons pas en avoir d’autres pour des raisons de futur compromis et d’écologie. Ma compagne est tannée, sous pression de cette culpabilisation PERMANENTE sur les citoyens lambda (particulièrement les moins aisés, dont nous faisons partie). Nous achetons quasiment TOUT de seconde main (à vrai dire, on n’a pas vraiment le CHOIX), sauf exception spécifique volontaire et consciente, et ça ne suffit jamais…. nous avons milité dans des mouvements citoyens type Alternatiba (expérience enrichissante!) lors de la COP 21, nous sommes politisés et relativement engagés, à notre mesure, on essaie d’installer un composteur partagé dans notre très grosse copro (950 lots, je vous laisse imaginer les arguments a déployer pour convaincre les petits vieux et le syndic:)^^). Quand on acquiert des pailles en bambou, qui coutent chères (n’en déplaise aux contradicteurs plus aisés), ca va encore pas (la production d’une seule espèce de bambou pour répondre à la demande nuit à l’écosystème d’Asie….etc etc etc). Les pailles c’est vraiment l’exemple minuscule de tout ce qui au quotidien nous prend littéralement le chou,la liste est sans fin. On achète des couches écolo qui coûtent sur 3années e couches une petite fortune (je n’ai pas fait le calcul, souhaitant ne pas m’évanouir!!!) ben ca pas pas,faudrait passer aux lavables (on a essayé qqs semaines, sans être du tout convaincu, notre fille n’avait que 3 mois environ. Et TOUT est comme ca. le zéro déchet, c’est super pour les ultra-citadins qui en ont les moyens,la possibilité de s’y rendre sans faire un quart d’heure ou une demi-heure de route en bagnole( sinon quelle est la cohérence???) il faut aussi le reconnaître, non? Ma compagne souhaitait investir quand elle pourra dans un bon vélo électrique, en paf sa fabrication est une catastrophe et ses composants non recyclables ou quasi…..c’est hyper fatigant car on a le sentiment quand on se renseigne vraiment que toutes les alternatives sont de “fausses bonnes idées” pour la plupart, à de rares cas près. parfois me prend l’envie de rejoinde la ZAD de NDDL (on habite près de Nantes)….merci pour cet article très instructif en tout cas, que je vais faire lire à mes proches (ma mère est persuadée que l’eau du robinet l’empoisonne à petit feux,et quand on voit le coût de l’eau en bouteille, la pollution générée, et les toxiques retrouvées dans les eaux de source/minérales vendues à prix d’or (93% des plus de 250 échantillons d’eau en bouteille de 11 marques testés contenaient de minuscules particules de plastique dont les dangers sur la santé sont méconnus, dans des quantités deux fois supérieure à celles détectées dans l’eau du robinet, indique une étude publiée mercredi 14 mars 2018. cf article sur le site de Sciences et avenir)…. il reste du boulot!!!

        Répondre
        PETILLON - 31 octobre 2019
        1. Bonjour Erwann et merci pour ce super témoignage qui me parle à 100 %. Nous sommes nombreux, dans la trentaine, à réaliser qu’avec notre niveau de vie qui ne sera pas celui de nos parents il est épuisant de chercher à allier quotidien et “parfaite petite vie du parfait petit écolo”. Je fais exactement la même expérience depuis des années, bien que mon enthousiasme ne s’érode pas facilement car je suis motivée :

          1/ par l’envie farouche de préserver (égoïstement) ma santé et celle de mes proches
          2/ par le challenge ludique que je me fais de cet objectif…

          Je trouve absolument anormal que faire cet effort nécessite une attention permanente aussi importante et complique à ce point la vie. Un vrai sacerdoce !

          Clairement, je sais que beaucoup baissent les bras face à ces efforts et préfèrent travailler plus pour gagner plus car cela leur permet ensuite de faire partie des privilégiés qui consomment sans regarder et sans avoir à se poser ce genre de questions/dilemmes. Beaucoup aussi considèrent que leurs petits gestes ne sauveront pas la planète et d’autres considèrent que leurs vies stressantes usent déjà bien trop leurs corps et leurs esprits pour en plus fournir un quelconque effort écologique.

          Les communes françaises qui tentent quelques expériences écologiques fonctionnent plutôt pas mal mais montrent également vite leurs limites, présage que le changement sociétal devra être radical (à court ou long terme) pour atteindre un quotidien réellement écologique.

          Quoi qu’il en soit c’est à chacun de faire son trou dans tout ça et surtout de ne jamais oublier d’essayer d’être heureux là-dedans, envers et contre tout. Il faut donc un savant mélange de motivation et de concessions… sans avoir aucune idée d’où tout cela nous mènera 🙂

          Pour ma part, être écolo est comme un contrat complice que j’ai signé, en toute intimité, avec notre Terre mère et quand bien même l’humanité court à sa destruction par ses actions, j’aurai fait plus que ma part (via mon travail, ce blog ainsi que mes gestes quotidiens). Je ne suis pas particulièrement optimiste quant à notre avenir du point de vue écologique et je crois malheureusement que nous allons devoir aller dans le mur pour prendre réellement conscience de l’interdépendance de tous nos systèmes et leur fragilité.

          Ni sauveurs, ni leadeurs, ni dictateurs de bonne conscience, je crois que nous sommes beaucoup comme toi Erwan à simplement tenter de faire au mieux. Et c’est déjà beaucoup. Car, de même que nos grands-parents ont vus leurs jeunes vies brisées, emportées à leur insu par le tourbillon des horreurs de la Seconde Guerre Mondiale, nous serons à notre tour emportés par le tourbillon de notre époque… Cela ne m’empêchera pas d’être heureuse et de profiter précieusement de chaque instant en agissant au plus proche de mes convictions, sans chercher à me voiler la face en croyant que j’ai le super-pouvoir de réveiller l’humanité endormie…

          Répondre
          Sabrina Debusquat - 4 novembre 2019

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